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Critique de Hedrankopaline
Les malheurs de Star.
Deuxième tome de la série des Fleurs Sauvages. On prend les mêmes et on recommence, mais cette fois, c'est Star qui se trouve sous les projecteurs puisque c'est maintenant à elle de raconter sa vie à ses compagnes d'infortune. le décor est le même, la structure narrative également. Les fesses posées sur sa chaise, la jeune héroïne déballe tout. Son originalité, par rapport aux autres miss qui l'écoutent, est de venir d'un milieu défavorisé et de faire partie de la minorité non-blanche. Donc c'est avec elle qu'on abordera le sujet de la maltraitance et de l'alcoolisme. Paye ton cliché ! Mais bon, ce faisant, Star reste conforme aux statistiques. Alors allons-y !
Orpheline Avec Parents, elle aussi, on ne s'est pas contenté de l'ignorer, on lui en a fait baver avant de l'oublier là. Elle, c'est la fleur sauvage piétinée, mais coriace. le fait est que son histoire se résume pour une grande part à une succession de misères et mauvais traitements en tout genre. C'est une sorte de cascade d'accidents dont la source est la pure incompétence des parents, sans affection ni rien du tout, en fait. Ils sont juste nocifs. Ce n'est pas pour autant qu'on a l'impression qu'il se passe plus de choses qu'avec Misty. le tout va crescendo dans la négligence . Heureusement qu'il y a sa grand-mère pour s'intéresser à elle et à son petit frère. Pareillement qu'avec Misty, je tournai les pages et enchaînai les aveux de malheurs avec un seul constat : OK. Il n'y a vraiment que la fin qui m'aie fait un petit quelque chose - l'angoisse, quoi - alors qu'elle trouve l'amour, comme une planche de salut. Mais on échappe pas à son destin de poissarde semble-t-il. C'est un peu comme le Titanic de James Cameron. Il n'y a de la place que pour une personne sur cette planche.
Niveau style, on reste toujours sur une description très bien faite des sentiments et des réactions face au stress de ces situations assez dures. Ici les blessures et leurs séquelles sont plus émotionnelles que physiques.
Une lecture qui passe le temps. *bis*
Deuxième tome de la série des Fleurs Sauvages. On prend les mêmes et on recommence, mais cette fois, c'est Star qui se trouve sous les projecteurs puisque c'est maintenant à elle de raconter sa vie à ses compagnes d'infortune. le décor est le même, la structure narrative également. Les fesses posées sur sa chaise, la jeune héroïne déballe tout. Son originalité, par rapport aux autres miss qui l'écoutent, est de venir d'un milieu défavorisé et de faire partie de la minorité non-blanche. Donc c'est avec elle qu'on abordera le sujet de la maltraitance et de l'alcoolisme. Paye ton cliché ! Mais bon, ce faisant, Star reste conforme aux statistiques. Alors allons-y !
Orpheline Avec Parents, elle aussi, on ne s'est pas contenté de l'ignorer, on lui en a fait baver avant de l'oublier là. Elle, c'est la fleur sauvage piétinée, mais coriace. le fait est que son histoire se résume pour une grande part à une succession de misères et mauvais traitements en tout genre. C'est une sorte de cascade d'accidents dont la source est la pure incompétence des parents, sans affection ni rien du tout, en fait. Ils sont juste nocifs. Ce n'est pas pour autant qu'on a l'impression qu'il se passe plus de choses qu'avec Misty. le tout va crescendo dans la négligence . Heureusement qu'il y a sa grand-mère pour s'intéresser à elle et à son petit frère. Pareillement qu'avec Misty, je tournai les pages et enchaînai les aveux de malheurs avec un seul constat : OK. Il n'y a vraiment que la fin qui m'aie fait un petit quelque chose - l'angoisse, quoi - alors qu'elle trouve l'amour, comme une planche de salut. Mais on échappe pas à son destin de poissarde semble-t-il. C'est un peu comme le Titanic de James Cameron. Il n'y a de la place que pour une personne sur cette planche.
Niveau style, on reste toujours sur une description très bien faite des sentiments et des réactions face au stress de ces situations assez dures. Ici les blessures et leurs séquelles sont plus émotionnelles que physiques.
Une lecture qui passe le temps. *bis*
