Rien de bien original dans ce tome que je lis sans beaucoup d'intérêt; le changement de dessinateur m'a gêné même si j'apprécie le crayon de Briones. L'histoire n'est pas mirobolante et n'apporte pas grand chose à l'univers développé; je suis face à quelques incompréhensions car j'ai crû comprendre que le Veill représentait le Mal absolu, véhiculé par la présence des dragons, et qu'il s'exprimait par des transformations autant physiques que psychique des personnes atteintes, ainsi que changements géographiques radicaux. Hors dans ce volume, les deux chevaliers dragons se trouvent en face d'un personnage, le Doge, très clairement possédé par le Veill et déjà en pleine métamorphose, et ne réagissent pas, le laissent en vie. Cela frise l'absurdité ou alors j'ai raté un truc.
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