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Critique de Regis80
Voilà un livre qui n 'n'est ni un roman, ni une anthologie de nouvelles, Marie d'Ange nous convie à une randonnée sur les traces des légendes des fameuses Dames Blanches.
Elle nous conte des récits curieux, émouvants ou terrifiants qui émaillent certains coins du Monde que ce soit aux Etats-Unis, au Canada, à Malte, En suisse mais aussi bien sûr, dans la patrie européenne des fantômes : l'Ecosse et bien tendu dans nôtre Hexagone. Après tout, à l'heure où l'on nous convie fortement à rester à l'intérieur de nos frontières, voici un but comme un autre pour les vacances.
Voilà un grand moyen de dépaysement que celui d'aller côtoyer nos légendes.
Et Marie d'Ange à le talent pour nous convaincre qu'un détour dans la forêt de Neubois (Bas-Rhin) peut constituer un excellent complément à la Route des Vins qui n'est pas si loin.
Après peut-être aurez-vous envie de délivrer certaines de ces dames de la malédiction qui règne sur elles mais attention !
Oui, mais la peur ne vous quitte pas et certaines pages, en particulier sur « Les lavandières de la nuit » sont assez terrifiantes pour vous éviter une promenade dans certains endroits, le soir tombé.
Marie D ange à l'art de susciter en sus de la curiosité, une certaine angoisse et de la peur. Certaines pages de l'auteure sont dignes d'un romande Shirley Jackson ou même de Stephen King.
le Fantastique n'est jamais aussi terrible que lorsqu'il surgit dans le réel ou lors de vacances, un moment où l'on se sent-théoriquement- détendu...
Marie d'Ange l'a bien compris et ce livre donne déjà envie de se pencher sur ses autres oeuvres plus romancées.
Car le style de l'auteure est simple, sans fioritures inutiles. Il vous accroche et vous emporte jusqu'à la fin du livre. Et sûrement l'envie vous prendrait 'elle d'y retourner pour y picorer tel ou telle page pour à l'occasion aller y « vérifier », la véracité de tel ou tel fait et y prolonger l'aventure.
Car pour nombre de ses récits, Marie d'Ange à l'art par un détail quelconque noyé dans ses contes de nous faire douter de la réalité et de nous replonger pour de bon dans l'imaginaire. Et ses dames blanches deviennent une curiosité au même titre que le château proche.
Peut-être par une nuit sans lune abandonnerez-vous les routes à grande circulation pour prendre les petites routes du Calvados ou d'ailleurs et espérer y retrouver les auto-stoppeuses fantômes.
En tout cas, voilà un livre à lire, à conserver et à emmener lors de vos vacances au côté d'un « Guide du Routard » et d'une bonne carte Michelin (je ne sais pas si les GPS sont équipés d'une option « Dame Blanche »).
Elle nous conte des récits curieux, émouvants ou terrifiants qui émaillent certains coins du Monde que ce soit aux Etats-Unis, au Canada, à Malte, En suisse mais aussi bien sûr, dans la patrie européenne des fantômes : l'Ecosse et bien tendu dans nôtre Hexagone. Après tout, à l'heure où l'on nous convie fortement à rester à l'intérieur de nos frontières, voici un but comme un autre pour les vacances.
Voilà un grand moyen de dépaysement que celui d'aller côtoyer nos légendes.
Et Marie d'Ange à le talent pour nous convaincre qu'un détour dans la forêt de Neubois (Bas-Rhin) peut constituer un excellent complément à la Route des Vins qui n'est pas si loin.
Après peut-être aurez-vous envie de délivrer certaines de ces dames de la malédiction qui règne sur elles mais attention !
Oui, mais la peur ne vous quitte pas et certaines pages, en particulier sur « Les lavandières de la nuit » sont assez terrifiantes pour vous éviter une promenade dans certains endroits, le soir tombé.
Marie D ange à l'art de susciter en sus de la curiosité, une certaine angoisse et de la peur. Certaines pages de l'auteure sont dignes d'un romande Shirley Jackson ou même de Stephen King.
le Fantastique n'est jamais aussi terrible que lorsqu'il surgit dans le réel ou lors de vacances, un moment où l'on se sent-théoriquement- détendu...
Marie d'Ange l'a bien compris et ce livre donne déjà envie de se pencher sur ses autres oeuvres plus romancées.
Car le style de l'auteure est simple, sans fioritures inutiles. Il vous accroche et vous emporte jusqu'à la fin du livre. Et sûrement l'envie vous prendrait 'elle d'y retourner pour y picorer tel ou telle page pour à l'occasion aller y « vérifier », la véracité de tel ou tel fait et y prolonger l'aventure.
Car pour nombre de ses récits, Marie d'Ange à l'art par un détail quelconque noyé dans ses contes de nous faire douter de la réalité et de nous replonger pour de bon dans l'imaginaire. Et ses dames blanches deviennent une curiosité au même titre que le château proche.
Peut-être par une nuit sans lune abandonnerez-vous les routes à grande circulation pour prendre les petites routes du Calvados ou d'ailleurs et espérer y retrouver les auto-stoppeuses fantômes.
En tout cas, voilà un livre à lire, à conserver et à emmener lors de vos vacances au côté d'un « Guide du Routard » et d'une bonne carte Michelin (je ne sais pas si les GPS sont équipés d'une option « Dame Blanche »).
