Ecrire un truc aussi accessible, aussi moderne en 1944!
J'avais le sentiment que c'était au béotien que je suis que s'adressait
Anouilh avec son magnifique prologue.
Si
Antigone a choisi son destin, c'est du côté de Créon que ça bouillonne, un Créon devenu roi malgré lui, en mal d'autorité et qui tente désespérément de couvrir les désobéissances de sa nièce.
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