Mon volume préféré de la série d'anthologies.
Je l'ai lu il y a près de 30 ans et j'ai toujours en tête quelques unes des
histoires de fins du monde... dont celle avec le dernier train où on assiste à la destruction du monde en suivant un type qui veut rentrer chez lui et qui rate le dernier train... pas le dernier train du jour, mais bien le dernier train.
C'est dans ce volume-ci que l'ironie, le cynisme atteignent leur paroxysme. Idem pour des thèses écologistes bien avant l'heure, certaines des nouvelles ayant bien 50 ans.
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