>
Critique de Lune
Il peut paraître gentillet ce livre…
Il est pourtant plein d'humanité et c'est cela qui le rend plausible et délicat à lire.
Les « dingues de chat » ne pourront qu'aimer le magnifique Nana, un mélange de « dur » et d'amour inconditionnel.
Ses mémoires sont faits d'observations des humains, de lucidité bienveillante, de reconnaissance éternelle envers celui qui le sauva de la rue et d'un accident : Satoru.
Satoru dont la vie va basculer et qui cherchera, après cinq ans de vie commune avec Nana, à le remettre en d'autres mains.
Nous parcourrons des kilomètres avec eux, des paysages défileront, des rencontres « retrouvailles », des souvenirs, du respect.
La culture japonaise se profile notamment dans ce refus de toute intrusion dans le plus privé de chaque être humain.
La fin amène les larmes mais est pleine de grandeur, de beauté et d'amour.
Une réflexion, une perception sur le départ définitif, pudeur, respect et douceur entraînent des remous en soi.
Il faut au début s'habituer aux méandres du livre entre noms, intervenants, présent et passé mais une fois cela assimilé, la lecture se poursuit aisément.
Un livre qui parle et quel hommage à ce merveilleux félin dont la pudeur, l'indépendance et la fidélité sont superbement décrits.
Un livre qui dit les choses simplement et laisse en nous une jolie musique.
Il est pourtant plein d'humanité et c'est cela qui le rend plausible et délicat à lire.
Les « dingues de chat » ne pourront qu'aimer le magnifique Nana, un mélange de « dur » et d'amour inconditionnel.
Ses mémoires sont faits d'observations des humains, de lucidité bienveillante, de reconnaissance éternelle envers celui qui le sauva de la rue et d'un accident : Satoru.
Satoru dont la vie va basculer et qui cherchera, après cinq ans de vie commune avec Nana, à le remettre en d'autres mains.
Nous parcourrons des kilomètres avec eux, des paysages défileront, des rencontres « retrouvailles », des souvenirs, du respect.
La culture japonaise se profile notamment dans ce refus de toute intrusion dans le plus privé de chaque être humain.
La fin amène les larmes mais est pleine de grandeur, de beauté et d'amour.
Une réflexion, une perception sur le départ définitif, pudeur, respect et douceur entraînent des remous en soi.
Il faut au début s'habituer aux méandres du livre entre noms, intervenants, présent et passé mais une fois cela assimilé, la lecture se poursuit aisément.
Un livre qui parle et quel hommage à ce merveilleux félin dont la pudeur, l'indépendance et la fidélité sont superbement décrits.
Un livre qui dit les choses simplement et laisse en nous une jolie musique.
