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Critique de Kay13
Ça commence comme une comptine et ça finit…
Deux personnes kidnappées, une pièce aveugle, un message assez clair du type « c'est lui où toi, mais seul l'un de vous sortira vivant » et une arme munie d'une seule cartouche… tic-tac, tic-tac… laissez la faim, la soif et le désespoir faire leur oeuvre, et vous aurez la trame de ce livre.
Je trouve l'idée particulièrement brillante de ce combat psychologique, dans un huis clos glaçant et particulièrement bien décrit par Alridge, qui pousse la victime à devenir bourreau. La porte s'ouvre après la détonation… l'un est mort… l'autre n'est vivant qu'en apparence.
Les kidnappings se multiplient et l'histoire file, glaçante. Les chapitres courts donnent un rythme haletant à l'ensemble et l'écriture de l'auteur est parfaite.
Le hic ? Des traits grossiers à la limite de la caricature des deux flics en présence, de la psy et de la journaliste qui desservent l'histoire. Ça déçoit un peu au début… et ça énerve à la fin, comme un bouton de moustique sur lequel on revient.
Deux personnes kidnappées, une pièce aveugle, un message assez clair du type « c'est lui où toi, mais seul l'un de vous sortira vivant » et une arme munie d'une seule cartouche… tic-tac, tic-tac… laissez la faim, la soif et le désespoir faire leur oeuvre, et vous aurez la trame de ce livre.
Je trouve l'idée particulièrement brillante de ce combat psychologique, dans un huis clos glaçant et particulièrement bien décrit par Alridge, qui pousse la victime à devenir bourreau. La porte s'ouvre après la détonation… l'un est mort… l'autre n'est vivant qu'en apparence.
Les kidnappings se multiplient et l'histoire file, glaçante. Les chapitres courts donnent un rythme haletant à l'ensemble et l'écriture de l'auteur est parfaite.
Le hic ? Des traits grossiers à la limite de la caricature des deux flics en présence, de la psy et de la journaliste qui desservent l'histoire. Ça déçoit un peu au début… et ça énerve à la fin, comme un bouton de moustique sur lequel on revient.
