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Critique de Anais_Yuuki
!!!! Alerte : on a frôlé le coup de coeur !!!!
Suite à mes précédents commentaires concernant le tome 10, je n'ai pas pu résister à la sortie du tome 11, dont la lecture m'excitait autant qu'elle m'effrayait. le constat est le même que pour le tome précédent : un coup de coeur encore frôlé à cause des personnages secondaires qui prennent trop de place « inutile » dans l'histoire.
Dans ce tome, on retrouve Helen Grace quelques mois après les événements survenus dans le tome 10. Dans cette nouvelle enquête, notre enquêtrice préférée doit faire face à un tueur fou qui massacre ses victimes, chez elle, à la hache. Mais comme à son habitude, Helen Grace doit gérer une autre situation en parallèle : rester constamment en alerte suite aux menaces d'Alex Blythe. Voici ce que promet la quatrième de couverture, et je trouve que le pari a été réussi. En effet, dès le début du récit j'ai été totalement immergée. M.J Arlidge n'a pas son pareil pour nous proposer des intrigues à rebondissement, où rien n'est laissé au hasard. Certes, on reste toujours sur les mêmes éléments : actions à gogo, revirement de situation, police à la ramasse, mais pourquoi changer une équipe qui gagne ? Je trouve que l'intrigue est toujours originale, tant qu'elle peut l'être. Dans un monde où on a presque tout vu dans les thrillers, je trouve cela difficile de juger sur l'originalité d'une intrigue.
C'est pour cela que le style de narration rentre en jeu, et l'auteur sait manier la plume avec habilité. Les chapitres sont courts mais percutants, nous laissant les tourner sans faim. Pour attiser notre intérêt, M.J Arlidge nous propose des chapitres où l'on suit tantôt les victimes, tantôt le tueur. J'adore ce changement de point de vue, qui permet de diversifier ma lecture et de me plonger dans le coeur de l'enquête. La proposition de plusieurs intrigues reste intéressante, et permet aux lecteurs de ne pas relâcher la pression. L'enquête sur le tueur à la hache prend beaucoup plus de place que l'intrigue avec Alex Blythe. Heureusement ou malheureusement ? Je laisserai à chacun faire son propre avis. Pour ma part, je suis mitigée car elle va emmener à un certain élément, mais l'intrigue se résout presque trop vite. Mais ce jeu du chat et de la souris nous permet aussi de découvrir une Helen plus humaine, avec un côté assez fragile.
Alors pourquoi est-ce que le coup de coeur a été frôlé ? Eh bien, encore à cause des personnages principaux et de l'intrigue lassante autour de ces derniers. Autant je trouve que Charlie est touchante et son évolution est intéressante, autant certains laissent à désirer. Comme je l'avais déjà mentionné dans ma critique sur l'ancien tome, je trouve ça lassant qu'Helen doit subir les attaques répétées des personnages secondaires, tels que son supérieur. On en est encore au point où sa place est en danger, où elle se lamente car elle ne saurait pas quoi faire d'autres. Pour le coup, je trouve que c'est du réchauffé, et je n'ai vraiment pas envie que l'auteur en fasse une habitude. Dans les thrillers, ce que j'aime lire, ce sont les enquêtes et non les enquêteurs qui se font constamment rabaisser par des gratte-papiers. Pour Émilia Garanita, c'est le même constat. Depuis le début de la série c'est la même rengaine et je n'ai pas l'impression de la voir évoluer. Peut-être que ce tome est un précurseur vers une évolution ? Je suis mitigée, je verrais bien dans le prochain.
Pour conclure, j'ai littéralement dévoré le livre jusqu'au trois-quarts du récit, c'est-à-dire jusqu'au moment où l'intrigue secondaire prend trop de place. J'espère vraiment que l'auteur va se renouveler côté intrigue secondaire parce que cela devient vraiment lassant et j'ai peur que ça me fasse perdre tout l'intérêt de la saga. J'espère aussi revoir une Helen Grace plus sûre d'elle, qui se pose moins de questions sur sa vie en général.
Suite à mes précédents commentaires concernant le tome 10, je n'ai pas pu résister à la sortie du tome 11, dont la lecture m'excitait autant qu'elle m'effrayait. le constat est le même que pour le tome précédent : un coup de coeur encore frôlé à cause des personnages secondaires qui prennent trop de place « inutile » dans l'histoire.
Dans ce tome, on retrouve Helen Grace quelques mois après les événements survenus dans le tome 10. Dans cette nouvelle enquête, notre enquêtrice préférée doit faire face à un tueur fou qui massacre ses victimes, chez elle, à la hache. Mais comme à son habitude, Helen Grace doit gérer une autre situation en parallèle : rester constamment en alerte suite aux menaces d'Alex Blythe. Voici ce que promet la quatrième de couverture, et je trouve que le pari a été réussi. En effet, dès le début du récit j'ai été totalement immergée. M.J Arlidge n'a pas son pareil pour nous proposer des intrigues à rebondissement, où rien n'est laissé au hasard. Certes, on reste toujours sur les mêmes éléments : actions à gogo, revirement de situation, police à la ramasse, mais pourquoi changer une équipe qui gagne ? Je trouve que l'intrigue est toujours originale, tant qu'elle peut l'être. Dans un monde où on a presque tout vu dans les thrillers, je trouve cela difficile de juger sur l'originalité d'une intrigue.
C'est pour cela que le style de narration rentre en jeu, et l'auteur sait manier la plume avec habilité. Les chapitres sont courts mais percutants, nous laissant les tourner sans faim. Pour attiser notre intérêt, M.J Arlidge nous propose des chapitres où l'on suit tantôt les victimes, tantôt le tueur. J'adore ce changement de point de vue, qui permet de diversifier ma lecture et de me plonger dans le coeur de l'enquête. La proposition de plusieurs intrigues reste intéressante, et permet aux lecteurs de ne pas relâcher la pression. L'enquête sur le tueur à la hache prend beaucoup plus de place que l'intrigue avec Alex Blythe. Heureusement ou malheureusement ? Je laisserai à chacun faire son propre avis. Pour ma part, je suis mitigée car elle va emmener à un certain élément, mais l'intrigue se résout presque trop vite. Mais ce jeu du chat et de la souris nous permet aussi de découvrir une Helen plus humaine, avec un côté assez fragile.
Alors pourquoi est-ce que le coup de coeur a été frôlé ? Eh bien, encore à cause des personnages principaux et de l'intrigue lassante autour de ces derniers. Autant je trouve que Charlie est touchante et son évolution est intéressante, autant certains laissent à désirer. Comme je l'avais déjà mentionné dans ma critique sur l'ancien tome, je trouve ça lassant qu'Helen doit subir les attaques répétées des personnages secondaires, tels que son supérieur. On en est encore au point où sa place est en danger, où elle se lamente car elle ne saurait pas quoi faire d'autres. Pour le coup, je trouve que c'est du réchauffé, et je n'ai vraiment pas envie que l'auteur en fasse une habitude. Dans les thrillers, ce que j'aime lire, ce sont les enquêtes et non les enquêteurs qui se font constamment rabaisser par des gratte-papiers. Pour Émilia Garanita, c'est le même constat. Depuis le début de la série c'est la même rengaine et je n'ai pas l'impression de la voir évoluer. Peut-être que ce tome est un précurseur vers une évolution ? Je suis mitigée, je verrais bien dans le prochain.
Pour conclure, j'ai littéralement dévoré le livre jusqu'au trois-quarts du récit, c'est-à-dire jusqu'au moment où l'intrigue secondaire prend trop de place. J'espère vraiment que l'auteur va se renouveler côté intrigue secondaire parce que cela devient vraiment lassant et j'ai peur que ça me fasse perdre tout l'intérêt de la saga. J'espère aussi revoir une Helen Grace plus sûre d'elle, qui se pose moins de questions sur sa vie en général.
