Entamé mais pas poursuivi. La première nouvelle a failli m'achever tant elle était insipide et niaise, ah les liens du sang, les liens du coeur… intitulée
mon grand père mineur, on se demande bien pourquoi à part pour mériter d'appartenir à un recueil de
nouvelles du Nord. A part quelques noms de lieux et quelques mots patoisants, l'histoire n'a rien de spécifique au Nord.
La 2ème démarre sur des bases similaires. Trop souffert en 100 pages, j'abandonne.
Déçue car j'avais plutôt apprécié lire La Courée dans ma jeunesse et car
Marie-Paul Armand étant étiquetée ‘littérature régionale' je m'attendais à autre chose pour conter ma région.
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