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Critique de Alfaric
Dans le chapitre 11, intitulé « lettres mensongères », Lag connait une crise de conscience car il doit livrer tout en haut de Breath Mint Gelato une lettre qui ne dit pas la vérité, un écrivain sans le sou écrivant à sa mère restée au pays qu'il a rencontré le succès et que tout va pour le mieux… Doit-il risquer sa vie pour livre une lettre mensongère ? Une lettre mensongère contient-elle aussi le coeur de leur auteur ? Son pouvoir de psychokinésie lui permettra de répondre à ses questions… Une histoire coute, simple mais assez jolie mine de rien.
Et décidément l'opposition entre les bees et les insectarmures me rappellent beaucoup le magnifique jeu vidéo "Shadow of the Colossus", où il fallait découvrir les points faibles de titans invulnérables remplacés ici encore une fois par des insectes XXL (décidément les Japonais sont gagas avec ces petites bêtes).
Dans le chapitre 12, intitulé « docteur cadavres », à la ruche centrale Lag, Niche et Zazie se lancent à la poursuite de Thunderland Junior qui a kidnappé Steak pour le ramener dans son laboratoire… Mais tout est bien qui finit bien, puisque le personnage tient davantage de Pasteur que de Frankenstein ! ^^
Ensuite Lag et Connor Culf font équipe pour livrer une lettre de Thunderland Senior à Honey Waters. Sur place il trouve une foule bien échauffée par un étrange couple d'activiste : l'intrépide Sarah et Messire Hunt (qui porte le même casque/maque que Griffith dans "Berserk", qui lui-même à "Phantom of the Paradise" de Brian de Palma … sûrement un hasard ^^), un colosse aux immenses bras griffus, présenté par Sarah comme étant un ancien cobaye de gouvernement d'Akatsuki. Elle accuse ce dernier d'avoir créé les insectarmures pour empêcher les classes défavorisées à se rassembler, les rendant dépendant des agents du gouvernement pour communiquer entre eux, le tout étant destinée à figer définitivement l'inégalitaire système des classes (et quelque part, ce n'est pas faux : remember "Claymore" de Norihiro Yagi). Seul Lag parvient à s'échapper grâce à l'aide de la jeune Anne Grad qui souhaite qu'il livre toutes les lettres séquestrées par les révolutionnaires, tandis que Gus le dingo de Connor Culf s'affaire à délivrer son maître… Alors que tout le monde semble se réconcilier, un gigantesque insectarmure nommé Cidre apparaît !
Et décidément l'opposition entre les bees et les insectarmures me rappellent beaucoup le magnifique jeu vidéo "Shadow of the Colossus", où il fallait découvrir les points faibles de titans invulnérables remplacés ici encore une fois par des insectes XXL (décidément les Japonais sont gagas avec ces petites bêtes).
Dans le chapitre 12, intitulé « docteur cadavres », à la ruche centrale Lag, Niche et Zazie se lancent à la poursuite de Thunderland Junior qui a kidnappé Steak pour le ramener dans son laboratoire… Mais tout est bien qui finit bien, puisque le personnage tient davantage de Pasteur que de Frankenstein ! ^^
Ensuite Lag et Connor Culf font équipe pour livrer une lettre de Thunderland Senior à Honey Waters. Sur place il trouve une foule bien échauffée par un étrange couple d'activiste : l'intrépide Sarah et Messire Hunt (qui porte le même casque/maque que Griffith dans "Berserk", qui lui-même à "Phantom of the Paradise" de Brian de Palma … sûrement un hasard ^^), un colosse aux immenses bras griffus, présenté par Sarah comme étant un ancien cobaye de gouvernement d'Akatsuki. Elle accuse ce dernier d'avoir créé les insectarmures pour empêcher les classes défavorisées à se rassembler, les rendant dépendant des agents du gouvernement pour communiquer entre eux, le tout étant destinée à figer définitivement l'inégalitaire système des classes (et quelque part, ce n'est pas faux : remember "Claymore" de Norihiro Yagi). Seul Lag parvient à s'échapper grâce à l'aide de la jeune Anne Grad qui souhaite qu'il livre toutes les lettres séquestrées par les révolutionnaires, tandis que Gus le dingo de Connor Culf s'affaire à délivrer son maître… Alors que tout le monde semble se réconcilier, un gigantesque insectarmure nommé Cidre apparaît !
