Le tome précédent marquait la conclusion d'un long cycle avec la fin du triple affrontement entre la Guilde, la Mafia et l'Agence, mais il ouvrait également vers un nouveau danger avec l'arrivée de
Dostoïevski dans le paysage.
Malgré cette menace, ce dixième volume choisit de ne pas revenir immédiatement dessus et, à la place, on a des petites intrigues assez indépendantes qui permettent de creuser un peu plus les personnages, notamment celui de Kunikuda, que j'aime décidément beaucoup, mais aussi d'en apprendre plus sur le passé de Atsushi.
C'est plutôt une bonne idée étant donné qu'on ne connaissait en fait pas grand chose de lui, mais, pour quelqu'un qui est plus au moins le personnage principal, je dois bien dire qu'il m'est plutôt indifférent.
Moins intense que les tomes précédents, il n'en reste pas moins intéressant et, avec un final qui voit réapparaitre
Dostoïevski dans l'environnement de la Mafia, le prochain volume s'annonce prometteur.
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