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Critique de Chocolatiine


En 1951, Isaac Asimov publie Foundation, le premier tome du Cycle de Fondation qui deviendra un grand classique de la science-fiction. Si l'on considère l'ordre chronologique de l'histoire et non celui de la publication, ce tome arrive après L'Aube de Fondation.
Reparlons un peu du contexte. Hari Seldon est décédé à l'âge de 81 ans, après avoir dédié son existence à la psychohistoire. Il a réussi à organiser l'exil d'un groupe de chercheurs sur la lointaine planète Terminus sous le prétexte de rédiger l'Encyclopedia Galactica. En parallèle, sa petite-fille Wanda est partie à la recherche de personnes ayant les mêmes dons qu'elle avec comme objectif d'établir une deuxième Fondation sur Star's End.
Ceci étant dit, revenons à Fondation. Dans la première partie, nous avons le plaisir de retrouver Hari Seldon et son assistant Gaal ; ce dernier était brièvement mentionné à la fin du tome précédent et nous allons suivre le récit de sa rencontre avec son nouveau patron. La suite du roman expose plusieurs "Seldon crisis", concepts sur lequel nous aurons davantage d'informations à la fin de la deuxième partie - The Encyclopedists. Nous serons ainsi propulsés à travers les premières décennies de Fondation et verrons évoluer le contexte socio-politique de cette région perdue de la Galaxie.
Et qu'en ai-je pensé, au final? J'ai absolument adoré les deux premiers tiers du livre, vraiment ! Je me suis laissée emportée très facilement par le suspense et les aventures des nouveaux personnages. En revanche, j'ai moins accroché aux deux dernières parties - The Traders et The Merchant Princes - et c'est pour cela que je ne mets "que" 4,5/5. Globalement, j'ai tout de même passé un excellent moment et j'ai hâte de me plonger dans le volume suivant !

Challenge XXème siècle 2023
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