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Critique de Marieemmy
Elle est de ces femmes qui patientent, qui rêvent, qui aiment, mais qui jamais ne rentrent vraiment dans la danse. Elle est de ces femmes qui errent, désirent, soupirent, qui voudraient saisir l'instant mais qui toujours le voient fondre devant elles...
Mathilde est femme d'ambassadeur à Moscou. Une vie parfaite qui cache un vide vertigineux, dans un monde artificiel et pesant. La rencontre d'un homme énigmatique lors d'un vernissage va tout faire basculer. Entre la capitale et le Baïkal, son amour du pays va naître et grandir. Elle va aussi sombrer dans une passion à la limite de la folie.
Ce roman est assez court ( 190 pages) et Katia nous balade en Russie et m'a donné envie de visiter ce pays (enfin, quand le "méchant virus" sera parti, dixit ma filleule Emmy) en décrivant les paysages, les taïga, les villes... J'ai retrouvé un peu de Tolstoi, de Dostoïevski dans ce roman. Malheuresement
, je n'ai pas été emballé par la vie de Mélanie qui se meurt à petits feux dans son rôle de mme l'Ambassadeur. Elle patiente, rêve beaucoup et une rencontre masculine va changer un peu la donne. Elle aimerait faire changer les choses mais ne fait rien. Elle cache son vide derrière des apparences trompeuses, artificielles. C'est justement ce manque d'énergie qui m'a rendu cette lecture quelque peu longue. Mais la prose est belle, c'est très bien écrit mais je ne suis pas arrivée à entrer pleinement dans l'univers de Mélanie.
Mathilde est femme d'ambassadeur à Moscou. Une vie parfaite qui cache un vide vertigineux, dans un monde artificiel et pesant. La rencontre d'un homme énigmatique lors d'un vernissage va tout faire basculer. Entre la capitale et le Baïkal, son amour du pays va naître et grandir. Elle va aussi sombrer dans une passion à la limite de la folie.
Ce roman est assez court ( 190 pages) et Katia nous balade en Russie et m'a donné envie de visiter ce pays (enfin, quand le "méchant virus" sera parti, dixit ma filleule Emmy) en décrivant les paysages, les taïga, les villes... J'ai retrouvé un peu de Tolstoi, de Dostoïevski dans ce roman. Malheuresement
, je n'ai pas été emballé par la vie de Mélanie qui se meurt à petits feux dans son rôle de mme l'Ambassadeur. Elle patiente, rêve beaucoup et une rencontre masculine va changer un peu la donne. Elle aimerait faire changer les choses mais ne fait rien. Elle cache son vide derrière des apparences trompeuses, artificielles. C'est justement ce manque d'énergie qui m'a rendu cette lecture quelque peu longue. Mais la prose est belle, c'est très bien écrit mais je ne suis pas arrivée à entrer pleinement dans l'univers de Mélanie.
