>
Critique de Marti94
J'aime beaucoup Gérard Astor qui dirigea le théâtre Jean Vilar à Vitry-sur-Seine bien que je ne comprenne pas toujours ses pièces. Il est dramaturge et enseigne et je pense que c'est une personne généreuse qui a la volonté d'ouvrir les théâtres au plus grand nombre. Mais je dois dire que ses pièces sont difficiles d'accès et je suis loin d'avoir décrypté tout ce qu'il veut dire. Par contre il sait créer une ambiance par ses entremêlements de situations. Dans « Laila-Enki le partage des eaux » il y a un mélange entre la petite histoire et la grande, inspirée par des faits réels.
L'auteur fait surgir son texte de la construction d'un mur qui sépare, en terre de Palestine et jusque dans Jérusalem, deux peuples, deux cultures, deux économies en volant aux plus démunis leurs ressources en eau. On retrouve dans la pièce ce mur érigé comme une frontière et deux camps opposés. Il y a aussi l'amour entre Laïla et Enki, l'ouvrier qui a construit le mur et qui, dès la première scène, y est fusillé. Mais Enki est aussi un dieu et là j'ai moins bien saisi son rôle d'autant plus qu'il y a des changements espace/temps dans chaque scènes. Ce qui est surprenant c'est que malgré mes interrogations je n'ai pas lâché le texte.
L'auteur fait surgir son texte de la construction d'un mur qui sépare, en terre de Palestine et jusque dans Jérusalem, deux peuples, deux cultures, deux économies en volant aux plus démunis leurs ressources en eau. On retrouve dans la pièce ce mur érigé comme une frontière et deux camps opposés. Il y a aussi l'amour entre Laïla et Enki, l'ouvrier qui a construit le mur et qui, dès la première scène, y est fusillé. Mais Enki est aussi un dieu et là j'ai moins bien saisi son rôle d'autant plus qu'il y a des changements espace/temps dans chaque scènes. Ce qui est surprenant c'est que malgré mes interrogations je n'ai pas lâché le texte.
