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Critique de Fifrildi
Je tiens tout d'abord à remercier Babelio et les éditions ActuSF pour l'envoi de ce livre dans le cadre d'une opération masse critique. Il a fallu un peu plus de temps que d'habitude pour le recevoir mais mieux vaut tard que jamais ^_^
Je ne suis pas particulièrement fan des dystopies mais j'ai coché ce livre par curiosité. Dans l'ensemble, j'ai trouvé ces deux essais intéressants mais au final je n'en ai pas retenu grand chose.
Qu'est-ce qu'une dystopie ? Quels sont ses liens avec l'utopie ? Marc Atallah évoque également l'hypertopie, l'utopie du numérique (née de la cybernétique).
Ce que je retiendrai du texte d'Atallah c'est son point de vue sur la fonction de la dystopie. Elle nous invite à « éprouver les utopies, à les vivre – même par procuration - , à en éprouver les violences à les penser. » C'est également (à mon avis) un des buts de la science-fiction : expérimenter le futur.
Frédéric Jaccaud lui met en parallèle l'utopie avec l'hétérotopie, "un lieu indépendant qui s'intègre dans le réel sans le parasiter."
Il évoque également le cyberpunk qui « répond en miroir inversé, telle une dystopie, à la science-fiction positive et technophile » des années 50.
En conclusion, j'ai lu des essais sur la SF plus accessibles.
Je ne suis pas particulièrement fan des dystopies mais j'ai coché ce livre par curiosité. Dans l'ensemble, j'ai trouvé ces deux essais intéressants mais au final je n'en ai pas retenu grand chose.
Qu'est-ce qu'une dystopie ? Quels sont ses liens avec l'utopie ? Marc Atallah évoque également l'hypertopie, l'utopie du numérique (née de la cybernétique).
Ce que je retiendrai du texte d'Atallah c'est son point de vue sur la fonction de la dystopie. Elle nous invite à « éprouver les utopies, à les vivre – même par procuration - , à en éprouver les violences à les penser. » C'est également (à mon avis) un des buts de la science-fiction : expérimenter le futur.
Frédéric Jaccaud lui met en parallèle l'utopie avec l'hétérotopie, "un lieu indépendant qui s'intègre dans le réel sans le parasiter."
Il évoque également le cyberpunk qui « répond en miroir inversé, telle une dystopie, à la science-fiction positive et technophile » des années 50.
En conclusion, j'ai lu des essais sur la SF plus accessibles.
