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Critique de Josephine2
Je n'ai pas été convaincue par ce roman. Je l'ai trouvé décousu. Au début, l'histoire se met en place, on fait la connaissance de Joachim et de son père, décédé récemment, professeur de littérature, homme à femme. Il laisse un très court écrit sur une éventuelle histoire d'amour entre une jeune anglaise, dont le père est sonneur de cloches et Chateaubriand.
Joachim part à la recherche de l'existence de « la petite sonneuse de cloches », amour De Chateaubriand alors exilé en Angleterre.
Ah ! me suis-je dit, l'histoire commence, on va suivre l'enquête. Et bien non, celle-ci s'arrête, on passe directement à un autre récit, celui de l'exil De Chateaubriand en Angleterre et de sa rencontre avec « la petite sonneuse de cloche ». Ce n'est plus une enquête.
Par moment on revient à l'époque de Joachim, donc à la nôtre. Il est à la recherche d'une mystérieuse jeune femme qui a volé le registre des « sonneurs de cloches » dans une bibliothèque de Londres.
Similitudes entre l'histoire De Chateaubriand et Joachim. Et tout s'arrête, l'histoire se termine en « eau de boudin ».
Certes, il y a quelques passages brillants, les descriptions en 1793 à Londres sont convaincantes, on s'y croit, et le clin d'oeil aux migrants, puisque tel est le cas De Chateaubriand, venu se réfugier en Angleterre pour fuir la révolution, est bien amené. Mais l'ensemble n'est pas du tout cohérent, homogène. J'ai eu l'impression de lire un brouillon, une ébauche. Dommage !
Mais ce n'est que mon avis.
Joachim part à la recherche de l'existence de « la petite sonneuse de cloches », amour De Chateaubriand alors exilé en Angleterre.
Ah ! me suis-je dit, l'histoire commence, on va suivre l'enquête. Et bien non, celle-ci s'arrête, on passe directement à un autre récit, celui de l'exil De Chateaubriand en Angleterre et de sa rencontre avec « la petite sonneuse de cloche ». Ce n'est plus une enquête.
Par moment on revient à l'époque de Joachim, donc à la nôtre. Il est à la recherche d'une mystérieuse jeune femme qui a volé le registre des « sonneurs de cloches » dans une bibliothèque de Londres.
Similitudes entre l'histoire De Chateaubriand et Joachim. Et tout s'arrête, l'histoire se termine en « eau de boudin ».
Certes, il y a quelques passages brillants, les descriptions en 1793 à Londres sont convaincantes, on s'y croit, et le clin d'oeil aux migrants, puisque tel est le cas De Chateaubriand, venu se réfugier en Angleterre pour fuir la révolution, est bien amené. Mais l'ensemble n'est pas du tout cohérent, homogène. J'ai eu l'impression de lire un brouillon, une ébauche. Dommage !
Mais ce n'est que mon avis.
