Livre d'une violence rare. Malgré l'écriture poétique de
Guillaume Aubin, de nombreuses scènes violentes tant dans les images que dans le vocabulaire viennent complètement la desservir. Viols à répétition, massacres, prostitution ... le scénario qui semblait si prometteur pâtit de ce qui semble être une écriture de fantasmes frustrés qui ne concernent presque plus l'histoire, surtout en ce qui concerne le (long) passage sur la sexualité adolescente de Fille Rousse. N'est pas Virgine Despentes qui veut. Très déçue.
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