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Critique de JohnArthur_M
Un tome à la hauteur des précédents, ni bon, ni mauvais. Toujours une intrigue bien ficelée, avec une trame réexploitant le mythe arthurien avec fraîcheur et originalité. On voit également que S.A.M s'est bien documentée concernant certains détails (comme les relevés sédimentaires et les moyens technologiques d'observation), ce qui offre une crédibilité à l'histoire, chose devenue plutôt rare ou alors mal amené.
Pour le reste, je suis mitigé. La trame sentimentale me rebute toujours autant, même avec ce que subit Katerina. Katerina qui, à l'instar de Eleanora dans Tara 11, passe d'une fille comme il faut à une bimbo idiote et écervelée qui s'AMUSE à jouer les bêtes sauvages tandis qu'Indiana se met à dos toute sa meute pour la sauver d'une bestialité inexistante... Je ne sais pas pour vous, mais moi, semi ou pas semi, je l'aurais baffée ! C'est donc un IMMENSE raccourci de scénario, que nous a offert l'auteur, histoire de faire rentrer dans les bonnes proportions un livre qui aurait dû être un peu plus développé.
Du côté de Mordred, si j'ai apprécié ce personnage mythique, je n'ai en revanche pas approuvé les tentatives de Sophie pour nous le dépeindre sous des nuances de gris. Il passe d'un coup d'un tueur sadique et cinglé à un fin diplomate... Mouais, donc on reprend le bon vieux dédoublement de personnalité en citant Gollum histoire de dire "je sais, l'idée est déjà prise, mais je suis pardonnée, je l'avoue moi-même dans mon livre !" Je trouve cela dommage, car Mordred, s'il y avait eu un peu plus de subtilité, aurait pu devenir un personnage d'envergure.
Troisième point négatif : il semble que la sexualité soit devenu la nouvelle mode pour S.A.M. En premier, les petits élans cochons entre Katerina et Indiana ("non, il faut pas, je vais te blesser !" Bella de Twilight était un peu plus courageuse, je lui reconnais cela ^^), la petite scène au lit entre May Ling et son petit copain, la beauté toujours aussi torride de chacun des personnage et une fixation toujours aussi prononcée sur les abdos... Je l'ai déjà dit dans ma critique du tome précédent, mais je ne crois pas avoir suffisamment insisté : cela m'AGACE !
Tout cela est heureusement rattrapé par l'intrigue en elle-même, comme toujours. Je pense que le talent de Sophie Audouin-Mamikonian réside en cela et en son humour (quand il ne tombe pas dans le registre sitcom Disney Channel). Je l'apprécie pour ça, mais je pense que je l'aimerai vraiment le jour où elle écrira une série sans mièvrerie. Je croise fort les doigts...
Pour le reste, je suis mitigé. La trame sentimentale me rebute toujours autant, même avec ce que subit Katerina. Katerina qui, à l'instar de Eleanora dans Tara 11, passe d'une fille comme il faut à une bimbo idiote et écervelée qui s'AMUSE à jouer les bêtes sauvages tandis qu'Indiana se met à dos toute sa meute pour la sauver d'une bestialité inexistante... Je ne sais pas pour vous, mais moi, semi ou pas semi, je l'aurais baffée ! C'est donc un IMMENSE raccourci de scénario, que nous a offert l'auteur, histoire de faire rentrer dans les bonnes proportions un livre qui aurait dû être un peu plus développé.
Du côté de Mordred, si j'ai apprécié ce personnage mythique, je n'ai en revanche pas approuvé les tentatives de Sophie pour nous le dépeindre sous des nuances de gris. Il passe d'un coup d'un tueur sadique et cinglé à un fin diplomate... Mouais, donc on reprend le bon vieux dédoublement de personnalité en citant Gollum histoire de dire "je sais, l'idée est déjà prise, mais je suis pardonnée, je l'avoue moi-même dans mon livre !" Je trouve cela dommage, car Mordred, s'il y avait eu un peu plus de subtilité, aurait pu devenir un personnage d'envergure.
Troisième point négatif : il semble que la sexualité soit devenu la nouvelle mode pour S.A.M. En premier, les petits élans cochons entre Katerina et Indiana ("non, il faut pas, je vais te blesser !" Bella de Twilight était un peu plus courageuse, je lui reconnais cela ^^), la petite scène au lit entre May Ling et son petit copain, la beauté toujours aussi torride de chacun des personnage et une fixation toujours aussi prononcée sur les abdos... Je l'ai déjà dit dans ma critique du tome précédent, mais je ne crois pas avoir suffisamment insisté : cela m'AGACE !
Tout cela est heureusement rattrapé par l'intrigue en elle-même, comme toujours. Je pense que le talent de Sophie Audouin-Mamikonian réside en cela et en son humour (quand il ne tombe pas dans le registre sitcom Disney Channel). Je l'apprécie pour ça, mais je pense que je l'aimerai vraiment le jour où elle écrira une série sans mièvrerie. Je croise fort les doigts...
