On se laisse facilement embarquer dans ce roman, où la perception que l'on a du monde qui nous entoure est remise en cause.
Je déplore toutefois un code couleur très manichéen. Je m'explique : il y a tout un panel de couleurs, qui couvre assez bien le champ des émotions. Pourtant, les anges qui "mangent" la brume issue de ces sentiments ne peuvent être que rouges ou bleu, mauvais ou bons. Je trouve ça un peu simpliste, surtout comparé à tout ce que l'auteur à mis en oeuvre pour donner des réponses à des choses qui n'en ont pas toujours (acouphènes, maux de tête, vampirisme, etc).
Pour ceux qui veulent me voir développer un peu plus cette critique, je vous renvois à la chronique que j'ai fait pour le site d'une amie :
Lien :
http://autrecotedumiroir.net.. Commenter  J’apprécie         30