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Critique de LeScribouillard
J'ai reçu cet ouvrage dans le cadre de l'opération Masse Critique organisée par Babelio. Je remercie ce site, ainsi que les éditions Milan.
Si j'ai posté juste avant mes trois critiques sur le Colvert Palace, c'était pour vous montrer à quel point je me suis lassé en grandissant des univers pour enfants, mais aussi que j'ai découvert leurs failles ; la littérature jeunesse n'est pas parfaite, loin de là.
Et ce n'est pas ce livre qui va lui apporter quoi que ce soit de nouveau. Alors, soyons honnêtes ! Il y a cinq ans, je l'aurais sans doute adoré. Et pourtant, même à l'époque, certains éléments m'auraient déjà sacrément agacé. C'est avec le recul de l'âge que je me rends compte de toutes les erreurs à ne pas faire, surtout de la part de quelqu'un qui devait se dire que c'était sûrement plus facile d'écrire un premier roman qui ait un lectorat plus indulgent. Résultat : 400 pages bancales à faire de l'exposition, avec un style pénible, des personnages encore plus, et un worldbuilding décevant. La couverture est belle, mais l'intérieur reste bien inférieur à ce que ce roman aurait pu donner, ou même à d'autres ouvrages pour la même tranche d'âge. Au final, comme je l'explique dans la critique plus détaillée qui est dans le lien, Arlo Finch, c'est un roman avec peu d'ambitions, pas vraiment mauvais, mais avec quelques gros défauts et d'un style qui ne m'intéresse vraiment plus.
Si j'ai posté juste avant mes trois critiques sur le Colvert Palace, c'était pour vous montrer à quel point je me suis lassé en grandissant des univers pour enfants, mais aussi que j'ai découvert leurs failles ; la littérature jeunesse n'est pas parfaite, loin de là.
Et ce n'est pas ce livre qui va lui apporter quoi que ce soit de nouveau. Alors, soyons honnêtes ! Il y a cinq ans, je l'aurais sans doute adoré. Et pourtant, même à l'époque, certains éléments m'auraient déjà sacrément agacé. C'est avec le recul de l'âge que je me rends compte de toutes les erreurs à ne pas faire, surtout de la part de quelqu'un qui devait se dire que c'était sûrement plus facile d'écrire un premier roman qui ait un lectorat plus indulgent. Résultat : 400 pages bancales à faire de l'exposition, avec un style pénible, des personnages encore plus, et un worldbuilding décevant. La couverture est belle, mais l'intérieur reste bien inférieur à ce que ce roman aurait pu donner, ou même à d'autres ouvrages pour la même tranche d'âge. Au final, comme je l'explique dans la critique plus détaillée qui est dans le lien, Arlo Finch, c'est un roman avec peu d'ambitions, pas vraiment mauvais, mais avec quelques gros défauts et d'un style qui ne m'intéresse vraiment plus.
