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Critique de farangset
Voici un roman graphique vraiment pas conventionnel...
L'auteur est aussi l'illustratrice et fait passer le dessin au second plan, pour maintenir le fil de son récit autobiographique. Il y a beaucoup d'esquisses simples, mais toujours très expressives.
C'est son agenda intime, à l'occasion d'un double voyage au Japon pour raisons professionnelles et aussi sentimentales.
Ses préoccupations sont essentiellement sexuelles, avec beaucoup de détails souvent crus et directs mais amenés avec une certaine candeur et une fraîcheur bienvenues (il s'agit d'une fille de 25 ans, d'origine asiatique ce qui me plaît bien ;) ).
C'est assez nouveau comme style, dans le direct sans fausse pudeur.
En même temps, l'auteur se pose de grandes questions, étant en face d'une situation nouvelle qui nous touche tous : a-t-elle trouvé le "Grand" amour ? Comment en être sûre, comment le conserver ?
Le tout dans un cadre étranger très exotique qui plus est, pas tout à fait celui de vacances où la chose est aussi fréquente qu'éphémère...
En conclusion, pas un ouvrage pour les coincés (qui nous emmerdent largement assez). Reste à voir l'opus 2, que je n'ai pas dans ma mediathèque toutefois.
L'auteur est aussi l'illustratrice et fait passer le dessin au second plan, pour maintenir le fil de son récit autobiographique. Il y a beaucoup d'esquisses simples, mais toujours très expressives.
C'est son agenda intime, à l'occasion d'un double voyage au Japon pour raisons professionnelles et aussi sentimentales.
Ses préoccupations sont essentiellement sexuelles, avec beaucoup de détails souvent crus et directs mais amenés avec une certaine candeur et une fraîcheur bienvenues (il s'agit d'une fille de 25 ans, d'origine asiatique ce qui me plaît bien ;) ).
C'est assez nouveau comme style, dans le direct sans fausse pudeur.
En même temps, l'auteur se pose de grandes questions, étant en face d'une situation nouvelle qui nous touche tous : a-t-elle trouvé le "Grand" amour ? Comment en être sûre, comment le conserver ?
Le tout dans un cadre étranger très exotique qui plus est, pas tout à fait celui de vacances où la chose est aussi fréquente qu'éphémère...
En conclusion, pas un ouvrage pour les coincés (qui nous emmerdent largement assez). Reste à voir l'opus 2, que je n'ai pas dans ma mediathèque toutefois.
