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Critique de Loulouread
ARRIÈRE ICONOPHAGES!
Ne faites pas bouillir trop longtemps nos deux héros… car ils ressortiront encore plus fort!
Armand Raynal de Maupertuis et Don Lope de Villalobos y Sangrin se tirent du chaudron comme deux larrons en foire et se lancent à la poursuite de nouvelles aventures. L'île aux trésors n'a pas finie de dévoiler ses secrets. La rencontre avec Sabado, un indigène très cultivé, sera déterminante dans l'avancement de l'histoire. La route vers le volcan où doit se trouver le trésor est mince et parsemée d'embûches : bêtes à grosseur démesurée, ponts branlants, et cavernes démoniaques.
La comedia dell'arte s'emmêle et moi aussi. L'intrigue se corse et les bouffons sortent d'un peu partout. Je me suis mélangée les pinceaux alors que « Maitre GrosJean, barbon avare et grincheux a jeté son dévolu sur l'accorte Isabelle. » C'est un secret de polichinelle que les références classiques et théâtrales d'Ayroles sont légions.
Cet un album intriguant plus qu'amusant pour ma part car j'ai mis du temps et de l'énergie à comprendre les allusions scéniques vers la fin. J'ai vu du baron de Münchhausen mélangé a du Léonard de Vinci accolé à du Arlequin. Grosse commande.
Entre-temps, la belle Hermine et Séléné sont Gros-Jean par devant alors, que saperlipopette, le lapin est sorti de son sac.
J'embraye pour le prochain tome. alea jacta est!
Ne faites pas bouillir trop longtemps nos deux héros… car ils ressortiront encore plus fort!
Armand Raynal de Maupertuis et Don Lope de Villalobos y Sangrin se tirent du chaudron comme deux larrons en foire et se lancent à la poursuite de nouvelles aventures. L'île aux trésors n'a pas finie de dévoiler ses secrets. La rencontre avec Sabado, un indigène très cultivé, sera déterminante dans l'avancement de l'histoire. La route vers le volcan où doit se trouver le trésor est mince et parsemée d'embûches : bêtes à grosseur démesurée, ponts branlants, et cavernes démoniaques.
La comedia dell'arte s'emmêle et moi aussi. L'intrigue se corse et les bouffons sortent d'un peu partout. Je me suis mélangée les pinceaux alors que « Maitre GrosJean, barbon avare et grincheux a jeté son dévolu sur l'accorte Isabelle. » C'est un secret de polichinelle que les références classiques et théâtrales d'Ayroles sont légions.
Cet un album intriguant plus qu'amusant pour ma part car j'ai mis du temps et de l'énergie à comprendre les allusions scéniques vers la fin. J'ai vu du baron de Münchhausen mélangé a du Léonard de Vinci accolé à du Arlequin. Grosse commande.
Entre-temps, la belle Hermine et Séléné sont Gros-Jean par devant alors, que saperlipopette, le lapin est sorti de son sac.
J'embraye pour le prochain tome. alea jacta est!
