L'explication de la découverte du feu reste celle (non avérée) du frottement (volontaire) de deux bouts de bois (d'essence différentes : dure (mâle) pour la flèche et tendre (femelle) pour le creuset) dont l'échauffement produit (l'acte sexuel) crée la flamme (l'amour).
Il subsiste alors une contradiction entre le pur et l'impur qui donne au feu un pendant démoniaque lorsqu'il est débridé (p 167) et un côté harmonieux lorsqu'il est constant, au sein du foyer (Chap. VIII).
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