>
Critique de jamiK
On trouve dans cet album quelques courtes histoires des débuts de Derf Backderf, auteur américain de romans graphiques underground. Jusqu'à présent, j'ai tout adoré, cet album aussi bien sûr, mais il s'agit d'un premier jet d'une histoire qu'il développera plus tard dans l'excellent “Trashed”. Il nous parle de son expérience comme éboueur avant de reprendre ses études.
C'est du noir et blanc. Son trait est épais noir, les traits un peu exagéré, ces personnages semblent dégingandés, avec le visage et les paluches étirés, cela rend plus burlesque le récit, la crasse et la laideur sont accentués, par le trait assuré et un peu raide, et par contrastes de noir et blanc. Ça pue, ça schlingue, c'est dégueulasse et on rit des multiples facéties, de l'horreur du métier dont il force sur les mauvais côtés.
Maintenant, ces histoires restent plus anecdotiques, comme un simple préambule à ce qu'il développera plus tard dans “Trashed”. Ce n'est pas le plus indispensable de l'oeuvre de Derf Backderf, mais il ravira les fans.
C'est du noir et blanc. Son trait est épais noir, les traits un peu exagéré, ces personnages semblent dégingandés, avec le visage et les paluches étirés, cela rend plus burlesque le récit, la crasse et la laideur sont accentués, par le trait assuré et un peu raide, et par contrastes de noir et blanc. Ça pue, ça schlingue, c'est dégueulasse et on rit des multiples facéties, de l'horreur du métier dont il force sur les mauvais côtés.
Maintenant, ces histoires restent plus anecdotiques, comme un simple préambule à ce qu'il développera plus tard dans “Trashed”. Ce n'est pas le plus indispensable de l'oeuvre de Derf Backderf, mais il ravira les fans.
