Tous les ingrédients du Petit Poilu sont là. le réveil, le bisou à maman, le petit couac qui entraîne Petit Poilu hors de son chemin (ici, une moissonneuse batteuse qui coince Petit Poilu dans une botte de paille), des péripéties et le retour à la maison.
On apprécie toujours autant les clins d'oeil, comme le fait qu'au repas du soir il mange du maïs, après avoir baguenaudé à la ferme pendant la journée. Kramik, le gros matou retors de la ferme, est assez peu sympathique et Petit Poilu prend un petit poussin en amitié. C'est tendre, mais on a trop le sentiment de répétition par rapport à l'épisode chez les Bonapéti, par exemple.
Un tome qui nous a laissé sur notre faim, un peu décousu et sans trop de relief.
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