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Critique de bdelhausse
Finalement, en refermant ce tome 6 de la saga Lastman, je me dis que malgré mes réserves sur le tome 1, j'ai bien fait de continuer. Il y a un petit je-ne-sais-quoi d'accrocheur, de neuf dans cette série qui force le lecteur à revenir sans cesse.
Le tome 6 marque la fin d'un cycle. Marianne, Adrian et leurs amis triomphent des créatures cybernétiques qui dupliquent la Garde Royale de l'Ordre du Lion. Finalement, et c'est un petit bémol de critique, cela ne se révèle pas si complexe que cela de démonter ces humains morts et ramenés à la vie par les prouesses d'une science dévoyée.
Les adieux à Tomie Katana (dont on se dit que son rôle n'est sans doute pas terminé) sont brefs. Adrian lui fournit le plan pour rejoindre le Royaume, si elle le veut. Cristo disparaît... mais on a eu énormément d'informations sur Cristo dans le tome, au cours d'un épisode onirico-fantasmatique très prenant. Impossible d'en dire plus sans spoiler, mais Cristo est le personnage le plus énigmatique de la saga à ce stade.
Les adieux? Mais je jette un coup d'oeil en bas de page... il est indiqué "page 149"... alors que le tome en contient plus de 200... de quoi va être fait le reste du tome? Qu'on se rassure, les auteurs ont de la ressource.
Le retour d'Aldana, Marianne et Adrian au Royaume est ... mouvementé, et le terme est faible. le roi a rétabli la Garde Royale, le Royaume est sur le pied de guerre et les trois amis qui reviennent ne sont rien d'autres que des traîtres, et traités comme tels. Rideau...
Petite parenthèse: j'ai toujours (malgré la profonde tristesse qui m'étreint) apprécié les auteurs qui savent faire tabula rasa de leurs personnages. C'est le cas ici. C'est même radical. Que le lecteur s'attende à des coupes très claires dans les personnages...
Les dernières pages nous plongent dans le Royaume, 10 ans ont passé. Elorna et Gregorio s'aiment. Ils sont beaux, jeunes. Ils sont faits chevaliers, tout semble pour le mieux dans le meilleur des mondes. Jusqu'à ce que l'on découvre que Richard Aldana s'est évadé...
Le dessin me perturbe encore pas mal. Mais on a une nette amélioration depuis le tome 1. Par ailleurs, ce crayonné "façon croquis" permet d'avoir un dynamisme, un mouvement, une pulsion dans le dessin qui convient parfaitement bien au scénario et à ses envolées.
Vivement la suite.
Le tome 6 marque la fin d'un cycle. Marianne, Adrian et leurs amis triomphent des créatures cybernétiques qui dupliquent la Garde Royale de l'Ordre du Lion. Finalement, et c'est un petit bémol de critique, cela ne se révèle pas si complexe que cela de démonter ces humains morts et ramenés à la vie par les prouesses d'une science dévoyée.
Les adieux à Tomie Katana (dont on se dit que son rôle n'est sans doute pas terminé) sont brefs. Adrian lui fournit le plan pour rejoindre le Royaume, si elle le veut. Cristo disparaît... mais on a eu énormément d'informations sur Cristo dans le tome, au cours d'un épisode onirico-fantasmatique très prenant. Impossible d'en dire plus sans spoiler, mais Cristo est le personnage le plus énigmatique de la saga à ce stade.
Les adieux? Mais je jette un coup d'oeil en bas de page... il est indiqué "page 149"... alors que le tome en contient plus de 200... de quoi va être fait le reste du tome? Qu'on se rassure, les auteurs ont de la ressource.
Le retour d'Aldana, Marianne et Adrian au Royaume est ... mouvementé, et le terme est faible. le roi a rétabli la Garde Royale, le Royaume est sur le pied de guerre et les trois amis qui reviennent ne sont rien d'autres que des traîtres, et traités comme tels. Rideau...
Petite parenthèse: j'ai toujours (malgré la profonde tristesse qui m'étreint) apprécié les auteurs qui savent faire tabula rasa de leurs personnages. C'est le cas ici. C'est même radical. Que le lecteur s'attende à des coupes très claires dans les personnages...
Les dernières pages nous plongent dans le Royaume, 10 ans ont passé. Elorna et Gregorio s'aiment. Ils sont beaux, jeunes. Ils sont faits chevaliers, tout semble pour le mieux dans le meilleur des mondes. Jusqu'à ce que l'on découvre que Richard Aldana s'est évadé...
Le dessin me perturbe encore pas mal. Mais on a une nette amélioration depuis le tome 1. Par ailleurs, ce crayonné "façon croquis" permet d'avoir un dynamisme, un mouvement, une pulsion dans le dessin qui convient parfaitement bien au scénario et à ses envolées.
Vivement la suite.
