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Critique de breizhglobereader
Bienvenue au "Legendes & Lattes", nouvel établissement de boissons caféinées, installé dans une petite bourgade paisible mais pas trop, tenu par...une orc ?! Oui, vous avez bien entendu, mais avant de s'attarder sur cette propriétaire atypique, posons-nous cette question essentielle :
"Au fait, au nom des 8 enfers, c'est quoi un café ??!"
Certains diraient que ce sont des collants de dames et de l'eau d'haricots exotiques (que les dieux nous viennent en aide !) et ils n'auraient pas tout à fait tort mais, nous pourrions leur répondre que c'est également bien plus que çà.
Imaginez sous les antiquités équestres et la poussière de la négligence, un endroit où il ferait bon boire le sentiment d'être serein, se réunir, parler fort, chanter tout bas, jouer aux échecs seul ou accompagné, un endroit où il ferait bon se trouver une famille. C'est un lieu comme celui-ci qu'a créé Viv, ogresse de son espèce et mercenaire plus que qualifiée, après une vie de combats qu'elle préfère maintenant plus paisible, assise à regarder les ombres se former au soleil du matin avec une tasse de café.
Dans le pur style du genre "Cosy fantasy", Travis Baldree nous livre ici le récit d'un nouveau départ, d'une construction personnelle touchante au travers de grains torréfiés et de croissants dorés.
Comme lorsque l'on se trouve les yeux à demi-clos, avec les mains en coupe autour de la chaleur d'une tasse, c'est un pur plaisir que de lire, goutte après goutte, cette histoire réunissant un anneau de fortune.
Nous pouvons d'ailleurs les apercevoir à travers les volutes de vapeur de la machine à café : un touchant Bouton s'occupe des pâtisseries en train de refroidir sur un présentoir, Tandri essuie le percolateur et Cal examine les charnières d'une des grandes portes.
Alors, si vous passez un jour par Tuine, n'oubliez pas que toute cette magnifique équipe vous accueillera les bras et le coeur grand ouvert dans ce cocon de douceur fort de caractère à l'image de sa gérante. Au menu : café, latte, roulés à la cannelle, boutonnets, croissants de minuit...
Et tout comme la joie et le partage ne quitteront jamais ces murs, ce que les flammes n'ont pas consumé ne s'éteindra jamais.
"Au fait, au nom des 8 enfers, c'est quoi un café ??!"
Certains diraient que ce sont des collants de dames et de l'eau d'haricots exotiques (que les dieux nous viennent en aide !) et ils n'auraient pas tout à fait tort mais, nous pourrions leur répondre que c'est également bien plus que çà.
Imaginez sous les antiquités équestres et la poussière de la négligence, un endroit où il ferait bon boire le sentiment d'être serein, se réunir, parler fort, chanter tout bas, jouer aux échecs seul ou accompagné, un endroit où il ferait bon se trouver une famille. C'est un lieu comme celui-ci qu'a créé Viv, ogresse de son espèce et mercenaire plus que qualifiée, après une vie de combats qu'elle préfère maintenant plus paisible, assise à regarder les ombres se former au soleil du matin avec une tasse de café.
Dans le pur style du genre "Cosy fantasy", Travis Baldree nous livre ici le récit d'un nouveau départ, d'une construction personnelle touchante au travers de grains torréfiés et de croissants dorés.
Comme lorsque l'on se trouve les yeux à demi-clos, avec les mains en coupe autour de la chaleur d'une tasse, c'est un pur plaisir que de lire, goutte après goutte, cette histoire réunissant un anneau de fortune.
Nous pouvons d'ailleurs les apercevoir à travers les volutes de vapeur de la machine à café : un touchant Bouton s'occupe des pâtisseries en train de refroidir sur un présentoir, Tandri essuie le percolateur et Cal examine les charnières d'une des grandes portes.
Alors, si vous passez un jour par Tuine, n'oubliez pas que toute cette magnifique équipe vous accueillera les bras et le coeur grand ouvert dans ce cocon de douceur fort de caractère à l'image de sa gérante. Au menu : café, latte, roulés à la cannelle, boutonnets, croissants de minuit...
Et tout comme la joie et le partage ne quitteront jamais ces murs, ce que les flammes n'ont pas consumé ne s'éteindra jamais.
