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Critique de iris29
En prenant ce roman à ma médiathéque, je m'attendais à une histoire policière amusante. J'espérais sourire, voire, rire, et encore mieux : avoir des fous-rires . Il n'en a rien été. Cette histoire étant plate de chez plate ... On dirait du Mary Higgins Clark sans le suspens.
Si je parle de cette honorable vieille dame, c'est parce que cette histoire se situe aux Etas Unis , à Boston. Et l'auteure étant française, on sent que cette histoire n'est pas " habitée". On sent qu'elle a regardé beaucoup de séries ou téléfilms , mais il n'y a aucune touche originale permettant de comprendre qu'elle a vécu dans le pays, ou passé des vacances. C'est complétement aseptisé , ça n'a pas le "goût de l'Amérique"...
Comme dans les romans de Madame Higgins Clark, l'héroïne est friquée, blanche, grande et mince et a les yeux clairs.. L'homme porte bien l'uniforme. Comme dans certains romans de Mary, l'héroïne est styliste. Ça fait rêver.. (mais styliste pour chien, ça fait moins rêver ). Pour un titre comportant le mot " fashion victim", l'héroïne n'est pas très fashion, pas très girly. On ne sent pas l'amour des fringues, des matières. Mis à part , mettre des vêtements de créateurs, l'auteure parle très peu de vêtements, elle n'est pas très documentée,ça ne fait pas "roman de filles".
Evidement , il y a une enquête : un collier composé de diamants ( créé par le père de l'héroïne , joaillier) a disparu, la propriétaire du chien a été assassinée.
Mais, aucun suspens.
Evidement, le flic chargé de l'enquête plait à l'héroïne, et réciproquement, mais ils ne s'en rendront pas compte tout de suite..
Le style est plat, aucune phrase ou réplique ne sort du lot.
Cette histoire pourrait aussi bien avoir été écrite dans les années 80, il n'y a aucune fraicheur, aucune modernité.
On se rend compte que d'autres romans mettent en scène certains personnages secondaires, apparemment tous dans des histoires d'amour. Vous l'aurez compris , ça sera sans moi, ma rencontre avec cette auteure n'ayant pas été très heureuse...
Si je parle de cette honorable vieille dame, c'est parce que cette histoire se situe aux Etas Unis , à Boston. Et l'auteure étant française, on sent que cette histoire n'est pas " habitée". On sent qu'elle a regardé beaucoup de séries ou téléfilms , mais il n'y a aucune touche originale permettant de comprendre qu'elle a vécu dans le pays, ou passé des vacances. C'est complétement aseptisé , ça n'a pas le "goût de l'Amérique"...
Comme dans les romans de Madame Higgins Clark, l'héroïne est friquée, blanche, grande et mince et a les yeux clairs.. L'homme porte bien l'uniforme. Comme dans certains romans de Mary, l'héroïne est styliste. Ça fait rêver.. (mais styliste pour chien, ça fait moins rêver ). Pour un titre comportant le mot " fashion victim", l'héroïne n'est pas très fashion, pas très girly. On ne sent pas l'amour des fringues, des matières. Mis à part , mettre des vêtements de créateurs, l'auteure parle très peu de vêtements, elle n'est pas très documentée,ça ne fait pas "roman de filles".
Evidement , il y a une enquête : un collier composé de diamants ( créé par le père de l'héroïne , joaillier) a disparu, la propriétaire du chien a été assassinée.
Mais, aucun suspens.
Evidement, le flic chargé de l'enquête plait à l'héroïne, et réciproquement, mais ils ne s'en rendront pas compte tout de suite..
Le style est plat, aucune phrase ou réplique ne sort du lot.
Cette histoire pourrait aussi bien avoir été écrite dans les années 80, il n'y a aucune fraicheur, aucune modernité.
On se rend compte que d'autres romans mettent en scène certains personnages secondaires, apparemment tous dans des histoires d'amour. Vous l'aurez compris , ça sera sans moi, ma rencontre avec cette auteure n'ayant pas été très heureuse...
