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Critique de LoupAlunettes
Nous aimons bien les histoires de chevaliers par ici.
Mais notre première accroche sur cet album fut d'abord le style graphique de Guillaume Plantevin, comique, nous rapprochant un peu de l'art de la BD.
Les figures humoristiques et presque proche de la caricature pourraient nous inspirer de l'" Astérix" de René Goscinny.
L'histoire.
" La quête du preux chevalier Philibert parti terrasser le dragon pour noyer son ennui".
Ce peut-il qu'un chevalier ne soit plus guidé par la foi, par sa grande mission de repousser la malfaisance, qu'il soit entièrement éteint de la mission enflammée de bâtir son propre récit d'exploits pour la postérité et les chansons. Devra t-il construire de ses mains une maison avec un burin et un marteau pour séduire la belle?
Cette dimension virile ne sera probablement pas de son rang.
Grand dieu, Philibert s'ennuie.
Comment cela est-il possible?
L'auteure de l'histoire Anne-Gaëlle Balpe nous racontera que son royaume était en paix depuis un moment. Alors, on comprendra que sans guerre, il n'y aura rien à défendre pour un chevalier. Comme c'est triste.
Il souhaita presque le retour des dragons, doit-on comprendre. Et ce fut le cas.
Les dragons furent de retour.
Mais attention, le retour sur le devant de la scène sera hilarant.
L'affrontement se transformera en association insolite puisque notre dragon, encore à l'état adolescent, dirions-nous, proposera à Philibert de l'entrainer afin qu'il soit digne de lui le jour où il sera aussi imposant qu'un château.
Nous rirons d'avance, évidement, imaginant difficilement que Philibert puisse occire par l'épée son challenger le moment venu.
L'amitié, c'est plutôt sacré et on ne peut occire les copains ( cela doit bien figurer quelque part dans un code de chevaliers, c'est évident).
L'épisode irrésistible donnera finalement de la raison d'être à notre Philibert et de plus, à contre-courant de sa fonction première. Comme quoi, avec des bonnes volontés, on s'adapte aux grandes révolutions du monde.
L'histoire est amusante, sympathique, tendre et répondra aussi aux envies des jeunes lecteurs en quête de chevalerie, de fantastique et d'aventure.
Mais notre première accroche sur cet album fut d'abord le style graphique de Guillaume Plantevin, comique, nous rapprochant un peu de l'art de la BD.
Les figures humoristiques et presque proche de la caricature pourraient nous inspirer de l'" Astérix" de René Goscinny.
L'histoire.
" La quête du preux chevalier Philibert parti terrasser le dragon pour noyer son ennui".
Ce peut-il qu'un chevalier ne soit plus guidé par la foi, par sa grande mission de repousser la malfaisance, qu'il soit entièrement éteint de la mission enflammée de bâtir son propre récit d'exploits pour la postérité et les chansons. Devra t-il construire de ses mains une maison avec un burin et un marteau pour séduire la belle?
Cette dimension virile ne sera probablement pas de son rang.
Grand dieu, Philibert s'ennuie.
Comment cela est-il possible?
L'auteure de l'histoire Anne-Gaëlle Balpe nous racontera que son royaume était en paix depuis un moment. Alors, on comprendra que sans guerre, il n'y aura rien à défendre pour un chevalier. Comme c'est triste.
Il souhaita presque le retour des dragons, doit-on comprendre. Et ce fut le cas.
Les dragons furent de retour.
Mais attention, le retour sur le devant de la scène sera hilarant.
L'affrontement se transformera en association insolite puisque notre dragon, encore à l'état adolescent, dirions-nous, proposera à Philibert de l'entrainer afin qu'il soit digne de lui le jour où il sera aussi imposant qu'un château.
Nous rirons d'avance, évidement, imaginant difficilement que Philibert puisse occire par l'épée son challenger le moment venu.
L'amitié, c'est plutôt sacré et on ne peut occire les copains ( cela doit bien figurer quelque part dans un code de chevaliers, c'est évident).
L'épisode irrésistible donnera finalement de la raison d'être à notre Philibert et de plus, à contre-courant de sa fonction première. Comme quoi, avec des bonnes volontés, on s'adapte aux grandes révolutions du monde.
L'histoire est amusante, sympathique, tendre et répondra aussi aux envies des jeunes lecteurs en quête de chevalerie, de fantastique et d'aventure.
