Je ne connaissais pas les courtes
nouvellesDe Balzac que je découvre en lisant in extenso et dans l'ordre La Comédie humaine…
Ici, c'est un pur plaisir stylistique avant tout — c'est du
Balzac, tout de même ! —, l'intrigue n'ayant rien de vraiment travaillé ; par contre, les portraits du début sont particulièrement savoureux autour des hypothèses de lecture proposées.
Parmi les sources d'inspiration possible, il est permis de rapprocher le bonheur et la complicité d'Octave de Camps et de Mme Firmiani avec les relations nouées entre
Balzac et Mme de Berny, d'autant plus qu'elle l'aidait financièrement. Bien que beaucoup plus âgée que lui, de plus de vingt ans son aînée, une grande passion les a unis jusqu'à son décès en 1836 ; elle fut pour
Balzac une amante, une mère et une inspiratrice.
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