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Critique de EosMayonnaise
Merci à Babelio et aux Editions Emmanuel Proust pour cette BD que j'attendais avec impatience.
En classe with me, une BD tirée du blog d'un prof d'anglais qui a relaté ses aventures par le dessin.
J'attendais beaucoup de ce livre, parce que l'anglais, c'est mon dada, et j'attendais vraiment de pouvoir me fendre la poire sur les bourdes des élèves. Et en fait, pas du tout. En l'occurrence le prof enseigne l'anglais mais comme la plupart des anecdotes ne concernent pas la matière, au fond peu importe. J'ai donc été assez déçue de ce côté-là. J'aurais voulu que 90% du livre soit porté sur la matière, et non les relations profs-élèves ou prof-parents ou prof-prof.
Ensuite, et là encore, drôle de sentiment, mais je me suis sentie durant cette lecture beaucoup plus proche des élèves que du prof... bon, des profs, j'en côtoie presque tous les jours, donc j'avais déjà compris qu'on n'avait pas le même humour (parce que bon, la lecture entière ne m'a tiré plus de deux ou trois sourires), mais je me suis vraiment sentie cancre du coup. le coup du pen-spinning m'a quand même fait marrer, parce que ça ne date pas d'hier. J'ai commencé en première et je le fais toujours tourner, mon stylo! J'avoue que je n'avais jamais pensé que ça pouvait être si chiant pour celui qui a une vue panoramique sur toute la classe...
En conclusion, un avis assez mitigé... un dessin plutôt sympathique, certes, mais au final le blog aurait pu rester un blog.
Amoureux de la langue de Shakespeare, Austen, John Lennon ou Alex Turner - à chacun ses références, si vous cherchez de l'anecdote croustillante, drôle et exaspérante que les gamins peuvent nous concocter dans leurs grands moments de réflexion, cherchez ailleurs... ou peut-être sur le blog de l'auteur, que je n'ai pas encore visité.
Il paraît qu'en une année scolaire, un élève ne parle pas plus de huit minutes dans sa LV1. Constatation faite.
En classe with me, une BD tirée du blog d'un prof d'anglais qui a relaté ses aventures par le dessin.
J'attendais beaucoup de ce livre, parce que l'anglais, c'est mon dada, et j'attendais vraiment de pouvoir me fendre la poire sur les bourdes des élèves. Et en fait, pas du tout. En l'occurrence le prof enseigne l'anglais mais comme la plupart des anecdotes ne concernent pas la matière, au fond peu importe. J'ai donc été assez déçue de ce côté-là. J'aurais voulu que 90% du livre soit porté sur la matière, et non les relations profs-élèves ou prof-parents ou prof-prof.
Ensuite, et là encore, drôle de sentiment, mais je me suis sentie durant cette lecture beaucoup plus proche des élèves que du prof... bon, des profs, j'en côtoie presque tous les jours, donc j'avais déjà compris qu'on n'avait pas le même humour (parce que bon, la lecture entière ne m'a tiré plus de deux ou trois sourires), mais je me suis vraiment sentie cancre du coup. le coup du pen-spinning m'a quand même fait marrer, parce que ça ne date pas d'hier. J'ai commencé en première et je le fais toujours tourner, mon stylo! J'avoue que je n'avais jamais pensé que ça pouvait être si chiant pour celui qui a une vue panoramique sur toute la classe...
En conclusion, un avis assez mitigé... un dessin plutôt sympathique, certes, mais au final le blog aurait pu rester un blog.
Amoureux de la langue de Shakespeare, Austen, John Lennon ou Alex Turner - à chacun ses références, si vous cherchez de l'anecdote croustillante, drôle et exaspérante que les gamins peuvent nous concocter dans leurs grands moments de réflexion, cherchez ailleurs... ou peut-être sur le blog de l'auteur, que je n'ai pas encore visité.
Il paraît qu'en une année scolaire, un élève ne parle pas plus de huit minutes dans sa LV1. Constatation faite.
