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Critique de ildibad
Dans ma critique du "Crépuscule des Chimères" j'évoquais le test "des chats" pour déterminer le genre auquel appartient un roman classé généralement trop vagement dans la catégorie "SF et fantastique". Catégorie spammée ces dernier temps par une déferlante de vampires amateurs de bondage et d'héroic fantasy faisant passer Conan pour un prix Nobel.
En appliquent ce petit test, Cosmos Factory fait partie sans conteste de la littérature fantastique. le genre est plus facilement attribuable cette fois-ci.
L'imagination de Jacques Barberi est toujours aussi féconde. L'ambiance est mi-roman noir, mi-Lovercraft.
Navigant dans un décors façon Dauville fin de siècle, entre une mère dépressive et des rencontres féminines à la charge érotique épicée d'un cocktail hormonal XXXL, notre héro voit sa santé mentale particulièrement menacée par des apparitions cauchemardesques et sa vie encore plus menacée par une grand-mère qui veut le tuer.
A lui de se débrouiller pour conserver l'un, l'autre, tomber amoureux et accessoirement sauver l'univers (pas seulement celui-ci, mais l'ensemble des multivers, autrement, cela aurait été trop facile.)
Lire Barbéri est toujour se retrouver au milieu d'un feu d'artifice, pas comme spectateur, mais comme petite fusée ...
Pour ceux qui le souhaireraient : un Kassakaappimies n'est rien d'autre qu'un perceur de coffre fort.
A lire, A déguster.
En appliquent ce petit test, Cosmos Factory fait partie sans conteste de la littérature fantastique. le genre est plus facilement attribuable cette fois-ci.
L'imagination de Jacques Barberi est toujours aussi féconde. L'ambiance est mi-roman noir, mi-Lovercraft.
Navigant dans un décors façon Dauville fin de siècle, entre une mère dépressive et des rencontres féminines à la charge érotique épicée d'un cocktail hormonal XXXL, notre héro voit sa santé mentale particulièrement menacée par des apparitions cauchemardesques et sa vie encore plus menacée par une grand-mère qui veut le tuer.
A lui de se débrouiller pour conserver l'un, l'autre, tomber amoureux et accessoirement sauver l'univers (pas seulement celui-ci, mais l'ensemble des multivers, autrement, cela aurait été trop facile.)
Lire Barbéri est toujour se retrouver au milieu d'un feu d'artifice, pas comme spectateur, mais comme petite fusée ...
Pour ceux qui le souhaireraient : un Kassakaappimies n'est rien d'autre qu'un perceur de coffre fort.
A lire, A déguster.
