Dans
Les Diaboliques, on plonge dans les abîmes de la conscience humaine, entre criminels irrécupérables et apparences parfaitement sauves. Les horreurs dépeintes y sont machiavéliques, leurs auteurs rarement confondus, et la vie continue sans encombre.
Vision assez noire de la bonne société du 19ème siècle, ces nouvelles sont assez agréables à lire cependant.
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