Si les longues descriptions tant des lieux que des pensées vous assomment, passez votre chemin.
Mais si vous appréciez le long cheminement qui peut à peu envoute, n'hésitez pas.
Peu de personnages dans cette histoire sans nom, qui est celle d'un long tète à tète entre une mère et sa fille sous les yeux d'une servante dans des lieux eux même renfermés et comme hors du temps puisque les évènements (la Révolution ) ne fait que les effleurer.
C'est aussi l'histoire d'une lente plongée dans une maladie mentale que le docteur
Jean Bernard a nommée d'après le nom de l'un des personnages : le syndrome de Lasthénie de Ferjol.
C'est aussi le récit des sentiments d'une mère fière de son nom et plus encore de celui de son défunt époux jusqu'à la cruauté.
Pour moi un grand plaisir de lecture. Pour vous ?
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