Quel secret renferme
Alexis Bardini dans son recueil
Une épiphanie si ce n'est celui de l'éclosion cachée des mots dans un alphabet fait de « paroles aux ailes battantes » survolant l'espace miraculeux d'une aube naissante émerveillée par la présence de sa bien-aimée ? Suffisant, nous dit le poète amoureux, pour « traverser le jour qui commence » et faire fléchir le poids du temps qui passe : « Tu es dans mon ombre plus présente que moi-même/Et le monde pèse moins dans tes mains ».Lire la chronique en entier :
Lien :
https://lettrescapitales.com.. Commenter  J’apprécie         60