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Critique de Maks
Avec "Zombies, des visages, des figures : dimension sociale et politique des morts-vivants au cinéma" nous sommes sur un essai/document décortiquant les films de zombies afin d'en tirer les sens cachés, les métaphores et intentions de ces oeuvres afin de mieux comprendre ce phénomène qu'est le film de zombies dont le public est de plus en plus friand.
L'auteur détaille en 3 parties le sujet, tout d'abord avec une partie consacrée à George Romero, l'homme qui a rendu le genre populaire et surtout le premier à avoir fait des parallèles sociaux et moraux avec la réalité (racisme, surconsommation, attentisme etc...), suivi de deux autres parties rassemblant les autres films avec une analyse éclairée de chacun.
De "La nuit des morts vivants" à "La nuit à dévoré le monde" en passant par "Shaun of the dead", Erwan Bargain nous dresse un portrait qui démontre que le film de zombies n'est pas juste une boucherie visuelle mais bien un reflet de notre société.
À dévorer si l'on aime les histoires de zombies mais également si on ne comprend pas cette étrange passion d'un genre repoussant de prime abord.
Lien : https://unbouquinsinonrien.b..
L'auteur détaille en 3 parties le sujet, tout d'abord avec une partie consacrée à George Romero, l'homme qui a rendu le genre populaire et surtout le premier à avoir fait des parallèles sociaux et moraux avec la réalité (racisme, surconsommation, attentisme etc...), suivi de deux autres parties rassemblant les autres films avec une analyse éclairée de chacun.
De "La nuit des morts vivants" à "La nuit à dévoré le monde" en passant par "Shaun of the dead", Erwan Bargain nous dresse un portrait qui démontre que le film de zombies n'est pas juste une boucherie visuelle mais bien un reflet de notre société.
À dévorer si l'on aime les histoires de zombies mais également si on ne comprend pas cette étrange passion d'un genre repoussant de prime abord.
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