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Critique de Jujubro2
Très peu habituée au genre de la science-fiction, j'ai entamé ce livre avec appréhension. Et que ma surprise fut bonne !
J'ai été conquise dès les premières pages de l'oeuvre, à la fois par le style de Barjavel que j'ai trouvé très fluide, et par l'histoire qui a piqué ma curiosité et m'a fait dévorer ce livre. J'adore les ambiances de glace et les explorations dans les pôles, j'ai donc été happée rapidement par l'intrigue et voulu savoir ce qui se cachait sous la glace.
Ce roman est une oeuvre à part, à la fois très pessimiste sur le comportement et l'avenir de l'humanité, et très optimiste sur l'amour qui peut unir des êtres vivants. L'amour est au centre de tout, que ce soit l'amour sans espoir mais magnifique du Dr Simon ou l'amour infini entre Eléa et Païkan. La capacité des civilisations humaines à s'autodétruire et à courir à leur perte est malheureusement également une partie majeure de l'histoire. C'est aussi l'histoire des prouesses que peut faire la science, de la capacité de toute l'humanité à se rassembler pour le meilleur et à se battre pour le pire et pour les mauvaises raisons.
Quand on lit cette histoire en 2024, on a du mal à croire que l'auteur ait pu l'écrire début 1968 tellement elle est crédible et annonciatrice d'événements qui se sont produits depuis ou similaires.
On en ressort bouleversé, en hésitation entre espoir, amour et colère.
J'ai été conquise dès les premières pages de l'oeuvre, à la fois par le style de Barjavel que j'ai trouvé très fluide, et par l'histoire qui a piqué ma curiosité et m'a fait dévorer ce livre. J'adore les ambiances de glace et les explorations dans les pôles, j'ai donc été happée rapidement par l'intrigue et voulu savoir ce qui se cachait sous la glace.
Ce roman est une oeuvre à part, à la fois très pessimiste sur le comportement et l'avenir de l'humanité, et très optimiste sur l'amour qui peut unir des êtres vivants. L'amour est au centre de tout, que ce soit l'amour sans espoir mais magnifique du Dr Simon ou l'amour infini entre Eléa et Païkan. La capacité des civilisations humaines à s'autodétruire et à courir à leur perte est malheureusement également une partie majeure de l'histoire. C'est aussi l'histoire des prouesses que peut faire la science, de la capacité de toute l'humanité à se rassembler pour le meilleur et à se battre pour le pire et pour les mauvaises raisons.
Quand on lit cette histoire en 2024, on a du mal à croire que l'auteur ait pu l'écrire début 1968 tellement elle est crédible et annonciatrice d'événements qui se sont produits depuis ou similaires.
On en ressort bouleversé, en hésitation entre espoir, amour et colère.
