AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Henri-l-oiseleur


Ce très beau roman de Clive Barker s'ouvre sur une belle et classique métaphore, celle du tapis où la réalité, les rêves et les hommes sont tissés : le tissage est une autre forme du texte, et l'histoire que l'on raconte est un fil que l'on déroule et que l'on dénoue, ou au contraire que l'on rattache à la trame. Ecrire c'est tisser, c'est coudre ou découdre, c'est nouer ou dénouer. de cette métaphore fondamentale de tout récit et de tout écrit, Barker tire des effets poétiques magnifiques, d'une fantaisie et d'une invention rares, qui font de cette lecture un enchantement grâce à son art du suspense et à sa maîtrise de l'effroi et de l'horreur, comme de la poésie la plus délicate.
Commenter  J’apprécie          120



Ont apprécié cette critique (12)voir plus




{* *}