C'est en traduisant le poète
Roberto Juarroz que
Silvia Baron Supervielle a relu et annoté la Bible, devenue, en quelque sorte, son livre. Montage, épure, abstraction, plus que commentaire : les passages retenus s'inscrivent dans un récit saisissant d'où n'émane plus qu'une parole d'amour et de ravissement.
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