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Critique de Bigmammy


Du rififi chez les Russes blancs, ou fantasia chez les diamantaires …

Un nouvel opus tiré des Nouveaux mystères de Paris, dérivé du polar éponyme de Léo Malet paru en 1957. Ici, le quartier où se situe l'intrigue est le 9ème arrondissement : justement celui où Léo Malet tenait un kiosque à journaux, à l'angle de la rue Sainte Anne et de la rue des Petits Champs. le secteur des Galeries Lafayette, de la rue de Provence, de l'église de la Trinité …

Cette fois, l'illustrateur s'est mis dans les pas de Jacques Tardi et respecte davantage son style : uniquement du noir et blanc, des détails urbanistiques replacés dans le siècle. C'est Nicolas Barral qui s'y colle cette fois, et c'est – de mon point de vue – bien plus conforme que le précédent de la série (Le soleil naît derrière le Louvre). Un carton plein, donc, si ce n'est que l'on ne retrouve pas totalement l'irrésistible et irrévérencieux talent de Jacques Tardi.

L'intrigue met en scène des immigrés russes blancs, des diamantaires et un inénarrable patron de restaurant chinois.
Une histoire de chantage, de vol de pierre précieuse pour répondre à ce chantage, de morts suspectes mais pas toujours de meurtres, de squelette unijambiste et de collection de modèles de lingerie fine. Pour une fois, la trame est moins alambiquée que d'habitude et on suit très bien sa progression. Un numéro tout à fait conforme aux attentes, donc, où l'on retrouve tout son plaisir de lecture …
Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..
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