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Critique de gege1968


Souvent je me languis dans la vieille cité,
Rêvant d'un ciel plus clair et de plages de sable
Qui fassent oublier la douleur qui m'accable.
Quand l'ennui me harcèle avec férocité,

Je cours me réfugier sous le toit qui m'abrite,
Laissant là mes amis et nos pauvres plaisirs.
Désireux seulement d'un plus noble loisir,
J'ouvre alors ce recueil qui jamais ne me quitte,

Y retrouvant ce mal qui t'habitait toujours,
Poëte merveilleux, mon semblable, mon frère !
Mais ton génie est tel qu'en mes plus tristes jours,

Quand je cueille un bouquet de ces fleurs éphémères,
Leur enivrant parfum finit par soulager
Mon âme que tourmente un chagrin passager.
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