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Critique de Pluiedor


Il y a encore deux histoires dans ce volume:
- la Disgrâce de Mrs Budley
- Sir Philip perd la tête

Je vais dans un premier temps vous parler de "La Disgrâce de Mrs Budley".
A la fin du tome 1, les associés du Parent pauvre avaient tiré à la courte paille pour savoir qui devrait trouver l'argent qui devait les faire subsister pendant quelques temps. Or Mme Budley (j'aime mieux les abréviations françaises) avait perdu.
Sir Philip avait fort à propos entendu parler d'un vieux marquis sénile au fin fond de la campagne et avait décidé d'envoyer Mme Budley chez lui. Cette dernière était censée lui expliquer qu'elle faisait partie de sa famille, ce qu'il n'aurait pu nier, vu son état. Et bien évidemment, elle devait trouver de quoi remplir le double fond de la malle fournie par Sir Philip.
Le projet semblait florissant et sans danger. Mais lorsque Mme Budley arriva au château, ce fut un jeune homme séduisant qui avait succédé à feu son oncle qui l'accueillit, pensant que c'était une femme en quête d'un époux qui se présentait chez lui car, depuis qu'il avait hérité du marquisat et des propriétés afférentes, il était poursuivi par des mères désirant bien marier leur fille.
Désireux lui-même de fonder une famille, il proposa le mariage à Mme Budley qui, non seulement le déclina, mais lui avoua en outre le motif de sa présence.
De retour à l'hôtel, avec un chèque du marquis, elle s'attira l'hostilité de ses associés lorsqu'elle leur confia ce qu'elle avait fait.
Évidemment, la pauvre jeune veuve était tombée amoureuse du séduisant marquis, au point de se laisser glisser dans une sorte de dépression... car non seulement elle n'était plus une débutante mais une veuve, malgré sa jeunesse, mais en plus elle s'était attirée la disgrâce de l'aristocratie à cause de ses activités mercantiles.
J'aime toujours autant la plume de cet auteur, et j'espère que l'éditeur publiera toutes ses autres séries ( ainsi les Chroniques datent de 1993-1994 et n'ont jamais été traduites, et c'est le cas de la grande partie du reste de l'oeuvre)

voici ma critique sur Sir Philip perd la tête.
le vieux gentleman s'est amourachée d'une femme énorme, laide et vulgaire et l'a installé au Parent pauvre. Ses autres associés voient cette nouvelle venue, imposée dans leur hôtel, d'un très mauvais oeil.
Ils décident de tout faire pour que Sir Philip retrouve la raison et chasse cette créature intéressée de leur logis collectif.
Par ailleurs, Mme Carruthers emménage au Parent pauvre avec sa fille de 19 ans, Arabella, qu'elle s'obstine à dissimuler au monde dans le but de se rajeunir. Miss Tonks, touchée par la détresse de la jeune fille, devient son amie et met les associés sur l'affaire: comment contraindre lady Carruthers à laisser sa fille faire son entrée dans le Monde?
Lu en un jour, excellent, comme d'habitude. J'attends avec impatience le 3ème (et dernier, semble-t-il) volume.
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