Le petit moustique qu'on libère dans une pièce pour en déranger les occupants et s'assurer ainsi de leur vivacité.
... Et pour goûter au luxe de voir la ville sous un ciel bleu : l'avantage d'une chine à l'arrêt, c'est autant d'usines qui ne tournent plus à plein régime.
Mais on lui a tellement répété qu'il ne fallait pas faire perdre la face à un Chinois.
A peine rentrée je ne rêvais que d'une chose : retourner en France. Mais les Français que je croisais à Shanghai n'avaient qu'une seule obsession : ne pas revenir. Ils disaient que chez eux, il n'y avait pas d'avenir. Qu'on les étouffait alors qu'ici, ils étaient tranquilles, entendus et enrichis. Je ne comprenais pas. Pour moi ma France, ce pays - et je n'en avais pourtant pas vu d'autres - était le plus beau du monde. Et jamais, même si la Chine m'a tout pris, jamais je n'oserai parler comme eux de mon pays. Leurs discours me stupéfiaient, et parfois, ils me rendaient triste.
C'est utile, une tête de victime, ça permet de se fondre n'importe où.