Il faut imaginer Céline bronzé au retour de tous ces voyages !
ces quatre-vingts jours sont sans doute une métaphore du temps qu’il a fallu à Jules Verne pour arrêter de boire. « faire le tour du monde » est en effet l’expression qu’il utilisait pour décrire les moments où il était torché.
Quitte à perdre des vies humaines, on préfère le retour des dinosaures à celui des nazis. Crichton était d’accord sur ce point et n’a pas hésité à faire un clin d’œil à Anne Franck dans la fameuse scène de la cuisine où deux vélociraptors cherchent des enfants cachés mais ne les trouvent pas car ils sont moins intelligents que les SS. À méditer.
Quelques larmes d’impuissance striaient douloureusement nos visages, qui restaient tout de même très très beaux.
la parité entre hommes et femmes n’est pas du tout respectée. Dommage pour l’auteur, son ouvrage n’en vieillira que plus vite.
Si vous avez des pellicules, celles-ci feront office de neige quand elles tomberont sur les pages.
Un style revigorant qui encourage à écrire de plus belle menaces de mort.
Ce livre est un appel à l’aide.