Le narrateur est né un vendredi 13, son épouse aussi et leur troisième enfant : un jeudi 12 mais avec un peu d'herbe, on peut arranger ça. L'enfant est reconnu comme l'Elu, celui qui abattra l'Antéchrist.
Le résumé m'a amusé, en plus, je n'ai pas lu beaucoup de romans algériens, c'était l'occasion. La couverture par contre, m'a un peu rebuté avec ce visage en gros plan et des couleurs criardes mais le roman étant relativement court, une centaine de pages, ce n'était pas un gros risque.
Eh bien, la déception fut au rendez-vous, je n'ai pas aimé. Les descriptions sont minimes, les actions s'enchainent avec un rythme certain, une épee magique, des trahisons... ça manque un peu d'explications ! Qui est avec, qui est contre, pourquoi untel fait ceci ou cela... j'ai été totalement perdue ! L'auteur est parti dans un trip personnel sur une prophétie (peu connue) sur l'Antéchrist (je suis aussi fort peu documentée sur le sujet, excusez-moi). Bref, à oublier pour ma part.
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