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Critique de Taraxacum
Gros poids lourd du roman historique, si vous me passez l'expression fort peu élégante, Benzoni fait partie de ces auteurs que j'avais envie d'essayer plus par curiosité que parce que je penserai que j'aimerai.
Celui-ci est un one-shot, alors qu'elle donnait plutôt dans la série, et se déroule sur la route de Compostelle, un sujet qui me fascine, alors il semblait un bon choix.
Sa façon d'écrire le Moyen-âge est assez plaisante, je lui concéderai cela et si vous cherchez quelque chose de distrayant, où l'auteur maîtrise les règles du suspens et où les méchants sont punis à la fin, ça pourrait être un bon choix.
Ensuite, je me serai bien passée du fatras mystico-atlanto-templiers qui arrive franchement comme un cheveu sur la soupe. Je trouve aussi étrange et plutôt malvenu que sur la troupe de pèlerins décrite ici, pas un ne se retrouve sans motif caché; personne ici n'est réellement venu en pèlerinage et dans le Moyen-âge si religieux, ça en devient ridicule.
Distrayant, mais je suis sûre que je l'aurai oublié bien vite.
Celui-ci est un one-shot, alors qu'elle donnait plutôt dans la série, et se déroule sur la route de Compostelle, un sujet qui me fascine, alors il semblait un bon choix.
Sa façon d'écrire le Moyen-âge est assez plaisante, je lui concéderai cela et si vous cherchez quelque chose de distrayant, où l'auteur maîtrise les règles du suspens et où les méchants sont punis à la fin, ça pourrait être un bon choix.
Ensuite, je me serai bien passée du fatras mystico-atlanto-templiers qui arrive franchement comme un cheveu sur la soupe. Je trouve aussi étrange et plutôt malvenu que sur la troupe de pèlerins décrite ici, pas un ne se retrouve sans motif caché; personne ici n'est réellement venu en pèlerinage et dans le Moyen-âge si religieux, ça en devient ridicule.
Distrayant, mais je suis sûre que je l'aurai oublié bien vite.
