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Critique de candlemas
Dans la catégorie Histoire, j'ai jusqu'ici fait des éloges de l'école des Annales, prolongée par la Nouvelle Histoire, celle de Braudel, de Duby, de Jean Favier, de Marc Ferro. Là où l'école des Annales recentrait sur le temps long, la Nouvelle Histoire ouvre la compréhension de notre passé sur les ressorts cachés, enfouis dans le quotidien socio-économique, la culture ou les mentalités.
Pourtant c'est à bon droit, il me semble, que L Histoire au XXIème siècle a réintroduit L Histoire politique, la biographie et L Histoire narrative. Un juste équilibre s'établit ainsi dans cette science humaine arrivée à "maturité". En effet, si le temps long ou les ressorts cachés éclairent l'événementiel et permettent de comprendre d'où sort l'homme providentiel -qui ne l'est pas tant que construit par son temps- , c'est bien le récit narratif, ou le personnage d'exception qui viennent marquer les esprits, la mémoire, et permet de construire une frise chronologique et des renvois comparatifs d'une époque à l'autre.
Aussi, il faut rendre hommage à des publications comme cette petite encyclopédie de l'Histoire du Monde parue en 2007 dans Les Essentiels de National Geographic. Avec force iconographie -qui elle aussi favorise la fixation dans l'esprit-, elle propose, par ordre chronologique, un sujet clé de l'Histoire Universelle sur chaque double page, renvoyant visuellement le lecteur à l'approfondissement par des encadrés biographiques, d'illustration, de mise en perspective chronologique ou d'approfondissement.
A travers ce commentaire, c'est donc un clin d'oeil et un correctif à mes commentaires précédents que je fais à tous les livres d'Histoire construits sur ce modèle "scolaire"... qui est loin d'être mauvais, si on l'utilise correctement. Pour ma part, il est probable que Duby ou Braudel me seraient restés hermétiques si je n'avais lu et relu dans mon enfance la Vie Privée des Hommes ou cette Histoire mondiale illustrée chez Casterman qui fait partie désormais de mon imaginaire, mêlant tous deux habilement articles de synthèse, mises en perspective par des encadrés, et bande dessinée.
Pourtant c'est à bon droit, il me semble, que L Histoire au XXIème siècle a réintroduit L Histoire politique, la biographie et L Histoire narrative. Un juste équilibre s'établit ainsi dans cette science humaine arrivée à "maturité". En effet, si le temps long ou les ressorts cachés éclairent l'événementiel et permettent de comprendre d'où sort l'homme providentiel -qui ne l'est pas tant que construit par son temps- , c'est bien le récit narratif, ou le personnage d'exception qui viennent marquer les esprits, la mémoire, et permet de construire une frise chronologique et des renvois comparatifs d'une époque à l'autre.
Aussi, il faut rendre hommage à des publications comme cette petite encyclopédie de l'Histoire du Monde parue en 2007 dans Les Essentiels de National Geographic. Avec force iconographie -qui elle aussi favorise la fixation dans l'esprit-, elle propose, par ordre chronologique, un sujet clé de l'Histoire Universelle sur chaque double page, renvoyant visuellement le lecteur à l'approfondissement par des encadrés biographiques, d'illustration, de mise en perspective chronologique ou d'approfondissement.
A travers ce commentaire, c'est donc un clin d'oeil et un correctif à mes commentaires précédents que je fais à tous les livres d'Histoire construits sur ce modèle "scolaire"... qui est loin d'être mauvais, si on l'utilise correctement. Pour ma part, il est probable que Duby ou Braudel me seraient restés hermétiques si je n'avais lu et relu dans mon enfance la Vie Privée des Hommes ou cette Histoire mondiale illustrée chez Casterman qui fait partie désormais de mon imaginaire, mêlant tous deux habilement articles de synthèse, mises en perspective par des encadrés, et bande dessinée.
