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Citations sur Lève-toi et tue le premier (149)

Il commencèrent par se féliciter; ...
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Comme l'a dit Napoléon, "ce ne sont pas les légions romaines qui ont franchi le Rubicon, mais César". (Ariel Sharon)
Sharon était un meneur de jeu, et il a mené la guerre contre le terrorisme
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Ceux qui font souffrir les Juifs font ensuite souffrir d'autres peuples ; c'est ce qui s'est passé avec Hitler, et c'est aussi ce qui se passe avec les terroristes arabes (Golda Meir)
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De l'Holocauste, les nouveaux Juifs de Palestine avaient retenu plusieurs leçons : le peuple juif serait toujours menacé de destruction, les juifs ne pouvaient compter sur les autres pour se protéger, et le seul moyen d'y parvenir était de fonder un État indépendant. Un peuple vivant avec ce sentiment d'un danger permanent d'anéantissement prendra toutes les mesures possibles, si extrême soient-elles, en vue d'assurer sa sécurité, et ne respectera les lois et est règlements "internationaux" (orthographe rectifiée) qu'à lamarge, voire même pas du tout.
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Au cours des années d'après guerre, les sionistes du Yichouv prouveraient au monde et, plus encore, à eux-mêmes, que les juifs ne se soumettraient plus jamais un tel massacre, et que le sang juif ne coulerait plus si aisément. Les six millions de morts seraient vengés.

" Nous estimons ne pas pouvoir nous accorder de repos tant que nous n'aurions pas vengé le sang par le sang, la mort par la mort", me déclara un jour Hanoch Bartov, un romancier israélien très apprécié, qui s'était engagé dans la Brigade un mois avant son dix-septième anniversaire.
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Vers la fin de sa vie, Meir Dagan, comme Ariel Sharon, l'a compris. Il est parvenu à la conclusion que seule une solution politique avec les Palestiniens - la solution à deux États - pourrait mettre un terme à ce conflit de cent cinquante années [...].
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Si ce chargement atteignait la bande de Gaza, signifia l'un des officiers de l'AMAN venu informer Netanyahou, nous recommanderions d'attaquer le Hamas sans aucune provocation préalable, afin de les empêcher de les déployer.
Ces armes n'arrivèrent jamais nulle part. A quatre heures du matin, le 24 octobre 2012, des chasseurs F-15 de l'armée de l'air attaquèrent le site et détruisirent les armements et tuèrent les personnels qui se trouvaient sur place à ce moment-là, des combattants du Hamas et des hommes des Gardiens de la Révolution islamique. Les cieux de Khartoum furent illuminés par les explosions. Des toits furent soufflés et des fenêtres fracassées par l'onde de choc. Les habitants de la capitale souffrirent à cause de la décision de leur gouvernement d'autoriser leur pays à se faire partie prenante de cette filière de contrebande d'armes. Après cet incident, les autorités soudanaises prévirent les Gardiens de la Révolution islamique qu'elles ne le permettraient plus.
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Face à une telle irresponsabilité, Dagan resta stupéfait : "L'emploi de la violence [militaire] aurait des conséquences intolérables. L'hypothèse de travail qu'il soit possible de mettre un terme final au programme nucléaire iranien au moyen d'une offensive militaire est erronée. [...] Si Israël devait attaquer, Khamenei [le chef suprême de l'Iran] remercierait Allah : cela unifierait le peuple iranien derrière ce programme et permettrait à son chef d'affirmer qu'il se doit d'acquérir la bombe atomique pour défendre son pays contre l'agression israélienne."
La simple décision de placer les forces israéliennes en alerte risquait de conduire à une glissade inexorable vers la guerre, estimait encore Dagan, parce que les Syriens et les Iraniens repèreraient cette mobilisation et risquaient de passer préventivement à l'action.
[...]
La rupture des relations entre Dagan et Netanyahou était inéluctable. Le premier avait dirigé le Mossad huit ans, plus longtemps que quiconque dans son histoire, excepté Isser Harel. Il l'avait recréé à son image, il avait ressuscité une agence moribonde et timide et lui avait restitué la gloire historique dont elle avait joui pendant des décennies. Il avait pénétré les adversaires d'Israël plus en profondeur que quiconque ne l'aurait cru possible, éliminé des cibles qui avaient échappé à la mort ou à la capture depuis des dizaines d'années, et contré pendant des années une menace existentielle qui pesait sur l’État juif.
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C'était un désastre provoqué par un orgueil démesuré. "J'aime Israël et le Israéliens, m' affirmé l'un des anciens chefs du renseignement allemand. Mais votre problème a toujours été que vous prenez tout le monde de haut - les Arabes, les Iraniens, le Hamas. Vous êtes toujours les plus intelligents et croyez pouvoir abuser tout le monde tout le temps. Un peu plus de respect vis-à-vis de l'autre camp, qu'il s'agisse d'un Arabe ignorant ou d'un Allemand dépourvu d'imagination, et un peu plus de modestie nous auraient épargné à tous ce lamentable gâchis."
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Le Mossad de Meir Dagan renouait avec le Mossad de la légende, l'agence qui, depuis le début de son histoire, avait été crainte ou admirée, mais jamais tenue pour quantité négligeable. Les personnels étaient fiers de servir dans ses rangs. Son directeur y avait introduit une audace qui eût été une pure fanfaronnade si elle n'avait été d'une efficacité aussi totale et implacable.
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