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Critique de VDAD
Une madeleine à la manière de Proust ...
Pierre raconte la vie dans la pub des années 70-80, celle où la créativité était le maître mot dans les petites agences où le client -l'annonceur- aimait à venir se faire peur, la pub « artisanale ».
La pub avant que le monde ne devienne politiquement correct, que l'image et le langage ne deviennent formatés et sans goût, avant que la publicité ne devienne un business comme un autre, tiré par des groupes internationaux pour qui « one size fits all ».
Il y décrit un monde joyeux et en fils de pub qui se respecte il y tue le père, mais son livre est un hymne à ce père, le « M » de CLM qui lui a appris à devenir ...
Avec le recul, il se montre devenu sage, revenu du bling bling, aspirant à une séniorité apaisée.
Elle a bon goût la madeleine, tiède, bien beurrée,
en tous cas pour moi qui y ait passé les six premières années de ma vie professionnelle débutante.
Reconnaissance, Pierre !
Pierre raconte la vie dans la pub des années 70-80, celle où la créativité était le maître mot dans les petites agences où le client -l'annonceur- aimait à venir se faire peur, la pub « artisanale ».
La pub avant que le monde ne devienne politiquement correct, que l'image et le langage ne deviennent formatés et sans goût, avant que la publicité ne devienne un business comme un autre, tiré par des groupes internationaux pour qui « one size fits all ».
Il y décrit un monde joyeux et en fils de pub qui se respecte il y tue le père, mais son livre est un hymne à ce père, le « M » de CLM qui lui a appris à devenir ...
Avec le recul, il se montre devenu sage, revenu du bling bling, aspirant à une séniorité apaisée.
Elle a bon goût la madeleine, tiède, bien beurrée,
en tous cas pour moi qui y ait passé les six premières années de ma vie professionnelle débutante.
Reconnaissance, Pierre !
