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Critique de Gaphanie
Arrête avec tes mensonges, c'est l'histoire d'un homme mort de n'avoir pu être lui-même. de n'avoir pas osé la liberté.
Au début du roman, Philippe, en pleine interview, croit reconnaître quelqu'un qu'il connaît, Thomas Andrieu, il le rejoint, lui tape sur l'épaule, et nous propulse en 1984, au coeur de son histoire avec Thomas, amour bref et intense, avant de revenir en 2007, en cette journée d'interview, et de conclure en 2016, année de la mort de Thomas.
Trois chapitres donc, 1984, 2007 et 2016, pour une lecture aussi brève et poignante que son intrigue.
J'aime beaucoup la façon d'écrire de Philippe Besson, il écrit comme il parlerait, oui, mais alors, qu'il parlerait bien ! Il nous parle de choses graves et sérieuses, dans le fond, essentielles, même, mais avec tellement de recul, de légèreté, d'humour et d'auto-dérision..
Philippe Besson termine son roman par la lettre que Thomas lui a écrite en 1984 sans jamais la lui envoyer. Ce qu'il y eut entre eux cette année là, c'était donc bel et bien de l'amour...
Au début du roman, Philippe, en pleine interview, croit reconnaître quelqu'un qu'il connaît, Thomas Andrieu, il le rejoint, lui tape sur l'épaule, et nous propulse en 1984, au coeur de son histoire avec Thomas, amour bref et intense, avant de revenir en 2007, en cette journée d'interview, et de conclure en 2016, année de la mort de Thomas.
Trois chapitres donc, 1984, 2007 et 2016, pour une lecture aussi brève et poignante que son intrigue.
J'aime beaucoup la façon d'écrire de Philippe Besson, il écrit comme il parlerait, oui, mais alors, qu'il parlerait bien ! Il nous parle de choses graves et sérieuses, dans le fond, essentielles, même, mais avec tellement de recul, de légèreté, d'humour et d'auto-dérision..
Philippe Besson termine son roman par la lettre que Thomas lui a écrite en 1984 sans jamais la lui envoyer. Ce qu'il y eut entre eux cette année là, c'était donc bel et bien de l'amour...
